Silures en Dordogne

Mes conclusions,

-Ras le bol de s’entendre dire que ce poisson qui atteint en France 2,40 m, 120 kg, ne mange rien, alors qu’après avoir tout dévoré, il en est réduit à s’entredévorer.
Mais il n’est venu à l’idée de personne que si il en est réduit à s’entre dévorer, c’est qu’il a simplement tout dévoré ou presque: carpes, brèmes, tanches, chevesnes, anguilles, etc…
Une espèce n’en arrive à ce comportement, qu’en toute dernière extrémité. Elle s’attaque d’abord aux autres espèces.
Il est bien évident que sa population n’augmente plus beaucoup ainsi. Mais en attendant, comme il a tout « bouffé », il n’y a plus rien de ce qui était la richesse piscicole de la rivière.

  • Ras le bol des études tronquées pour nous mentir, et nous expliquer qu’il n’a pas d’impact sur la population indigène, avec ces études incomplètes et hors sujet réel.
    Arrêter de nous balancer des belles études bidons sur l’impact du silure.
    UNE VRAIE ETUDE COMPORTE OBLIGATOIREMENT UN INVENTAIRE AVANT, ET UN SECOND INVENTAIRE APRES.
    OR DANS CES ETUDES, IL N’Y A JAMAIS D’INVENTAIRE AVANT.
    Il s’agit de constats sur le comportement actuel des silures, combien de kilomètres pour leur habitat, etc… surement très intéressant, mais en aucune manière, une véritable étude sur l’impact de sa présence sur la population qui vivait ici, avant son envahissement.

Que penser d’études semblant impartiales, mais insidieusement proposées par des spécialistes commerciaux impliqués dans des prestations payantes de pêche…aux silures ?
Regardez bien sur les premières pages de cette « étude » : http://www.peche69.fr/cms_viewFile.php?idtf=5659&path=2016-L-installation-du-silure-dans-le-bassin-du-Rhone-bilan-de-trois-decennies-de-suivi-de-l-espece.pdf
Notez bien le sigle jaune à droite " Tanzilli Aventures", allez visiter leur site, et dite moi, si ce n’est pas de la manipulation., et si on peut faire confiance à une « étude » co-réalisée par des parties intéressées commercialement ?

-Ras le bol d’entendre dire qu’il n’est pas comestible, alors que non seulement il est très bon, commercialisé, et consommé depuis très longtemps sur les bords du Danube, et qu’il a déjà commencé à être servi dans de très bon restaurants français sous le nom de Merval…
Ras le bol aussi du mensonge sur le fait qu’il soit truffé de PCB, mensonge contredit par la première étude sur ce sujet. Il est très loin du seuil toléré en Pcb.

  • Ras le bol des diversions stériles en nous expliquant qu’il y avait des poissons « d’environ » de la même espèce, ou approchante, il y a des millions d’années.
    Justement, nous étions depuis des millions d’années arrivés à un bel et bon équilibre. Merci de l’avoir détruit en quelques années.

  • Ras le bol du défaitisme expliquant qu’on ne peut plus rien. C’est faux. Classé en nuisible comme dans d’autres pays, où les pêcheurs français se précipitent dorénavant. Il faudra effectivement quelques années pour les éradiquer. Voir aussi, le paragraphe suivant.

  • Ras le bol de la mauvaise foi de ceux qui préfèrent voir les pêcheurs professionnels pêcher des milliers de saumons et truites de mer au filet, à l’embouchure des fleuves et gaves, plutôt que d’orienter ces pêcheurs à réguler la population des silures…
    Ils abandonneraient ainsi la pêche de migrateurs vendus à un prix ridicule, par rapport aux sommes mises en jeux pour leur reproduction. Ces saumons sauvages sont revendus pour des prix au kilo de 10 à 20 Euros, alors que tout rare saumon repris dans le fleuve revient à près de 450€ à la communauté.
    Ils nous expliquent que la pêche aux filets entrainera la prise accidentelle de saumons, mais omettent de parler de la sélection par la taille des mailles, et anticipent de façon malsaine sur la bonne foi des pêcheurs professionnels. De plus ils omettent bien de reconnaitre , que ne pêchant plus aux embouchures, ce sont des milliers de migrateurs qui vont pouvoir enfin remonter les rivières.

  • Ras le bol de toute cette mauvaise foi, des mensonges, des tricheries, des manipulations, tout ça dans le seul but de satisfaire une bande minoritaire de pêcheurs addicts à sa pêche et qui ne tiennent pas à ce qu’on leur enlève leur jouet, même si ce dernier est néfaste pour le milieu piscicole. Cette bande de pêcheurs égoïstes se fichent bien des autres pêcheurs, et du milieu,

Comme par hasard, à part quelques suiveurs, ce sont toujours les mêmes qui nous inondent de mensonges et d’études orientées ou fallacieuses.
On est d’ailleurs en droit de se demander si il ne s’agit pas de ceux qui l’on introduit illégalement pour leur plaisir égoïste.
Ils viennent nous parler de respect de l’écologie, des espèces, de la nature, après avoir bafoué tout cela par l’introduction, ou la protection de cette espèce invasive, et ceci en toute illégalité sur de nombreuses rivières. J’ai d’ailleurs le souvenir de discussions sur le même sujet sur l’ancien forum de gobages, où deux gobnautes expliquaient, l’un être dégoutté car confronté à l’introduction de silure sur une partie de rivière qui en était dépourvue, et qu’il en pâtissait. Le second nous expliquait qu’il avait eu connaissance d’une introduction en fraude par des responsables d’un magasin d’articles de pêche.*

J’aimerai bien voir la même mobilisation pour la protection du milieu piscicole, contre la pollution, et les autres menaces, que celle affichée pour soutenir un des plus néfastes prédateurs qu’on ait connu ces dernières décennies.

J’aurai aimé savoir exactement l’impact de son arrivée dans nos rivières. Savoir si cela confortait mes observations et celles de nombreux pêcheurs.
Pour cela, il serait peut être plus judicieux de se procurer, les résultats d’études de populations piscicoles d’après les comptages par pêches électriques sur une centaine de rivières françaises
Premièrement dans les années précédant l’introduction du silure, et deuxièmement, dans les années suivant son introduction illégale et envahissement.
De cette façon, nous serions renseignés impartialement. Mais là, je me doute bien que cela n’intéresse pas ce petit lobby de fanatiques.

  • La pêche du silure rapporte bien, beaucoup : bateau spécialisé (silurine, etc…), moteurs hors bords, plus moteurs électriques, sondeurs, avec tout l’accastillage, sans oublier les cannes, lignes, moulinets et leurres spécifiques. Je cois bien que c’est là qu’il faut trouver aussi, la raison d’une telle désinformation.

En conclusion, vu les mensonges, les manipulations, les contre vérités, les amalgames déviants, et la désinformation propagés par une minorité de partisans acharnés de ce poisson exogène, et les éternels suiveurs « bisounours », cela devient n’importe quoi.
Comme « Le Normand » -
« J’ai fait mes premières armes de pêcheurs dans une bien modeste rivière de deuxième catégorie de 5 ou 6 mètres de large. Le moinde de ses “trous” recelait des trésors en quantité et variété de poissons… C’était un émerveillement à chaque fois de les observer et je rage de voir que mes petits-enfants ne pourront jamais contempler cela. »

Je suis écœuré que par la faute de « soit disant pêcheurs », mes petits enfants ne puissent jamais jouir du spectacle de la nature qui leur était dû !

Merci, les amateurs de silures, et ceux qui les soutiennent !

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rien à dire de plus sinon que
j’ai un peu de mal avec ceux qui défendent le silure après l’avoir illégalement introduit.

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En parlant de mauvaise foi, qu’est-ce qui vous prouve que ce poisson est la cause de tous vos malheurs ? Critiquer, radoter et ressasser les arguments issus d’un autre siècle ne “sauvera” rien :

" Ras le bol des diversions stériles en nous expliquant qu’il y avait des poissons “d’environ” de la même espèce, ou approchante, il y a des millions d’années.
Justement, nous étions depuis des millions d’années arrivés à un bel et bon équilibre. Merci de l’avoir détruit en quelques années." - Êtes vous Dieu le Père pour considérer que l’équilibre était bon ?

"Ras le bol du défaitisme expliquant qu’on ne peut plus rien. C’est faux. Classé en nuisible comme dans d’autres pays, où les pêcheurs français se précipitent dorénavant. Il faudra effectivement quelques années pour les éradiquer. Voir aussi, le paragraphe suivant" - Montrez moi un seul exemple ou classer une espèce nuisible à conduit à sa disparition ?

Ras le bol de toute cette mauvaise foi, des mensonges, des tricheries, des manipulations, tout ça dans le seul but de satisfaire une bande minoritaire de pêcheurs addicts à sa pêche et qui ne tiennent pas à ce qu’on leur enlève leur jouet, même si ce dernier est néfaste pour le milieu piscicole. Cette bande de pêcheurs égoïstes se fichent bien des autres pêcheurs, et du milieu” - de quel complot parlez -vous ? si lobby de pêcheur il y’a, on peut considérer que les aficionados du saumon et des salmonidés le sont aussi ! il s’en suit juste des conflits d’intérêts économiques, on est plus dans l’écologie…

Bref, “manipulations et mensonges” selon vous mais toujours pas de preuves sur le caractère nuisible de ce pauvre poisson qui déchaine autant de haine (à la base, je m’en fous royalement, je ne le pêche pas; c’est juste que le ramassis de ragots me choque).

Moi aussi j’en ai ras le bol d’entendre “c’était mieux avant”, alors qu’on ferme les yeux sur les pollutions diffuses, le réchauffement des eaux, le braconnage, les prélèvements sur la ressource, la réduction des moyens de l’AFB, l’exploitation hydro-électrique, etc.

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@Charles16

Tu demandes :

Celà tombe bien car une étude remarquable de l’ONEMA (devenue AFB) existe sur plus de 650 sites d’inventaire entre 1990 et 2009 soit juste avant l’arrivée du silure et bien apres sur la grande majorité des eaux francaises :

http://www.onema.fr/sites/default/files/pdf/poissons_19902009_201305_synthese.pdf

Quels sont les conclusions ? Elles sont limpides :

Les populations piscicoles d’eau chaude en France se portent bien, tres bien même, l’impact du silure il est invisible sur 30 ans même si en terme d’occurence et de densité, cette étude montre que le silure a littéralement explosé sur le territoire !

J’imagine que toi (ou le clan de ceux qui s’en foutte des chiffres) vont encore nous expliquer que tout ceci c’est bidon, que cette étude c’est encore aussi de la daube, que les scientifiques sont des menteurs, des malfaisants etc… Si on pouvait s’épargner ce genre d’invectives, les échanges gagnerait en sérénité.

A+
J

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[quote=“John78, post:65, topic:5876, full:true”]

Les populations piscicoles d’eau chaude en France se portent bien, tres bien même

certainement pas partout, j’ai un exemple de rivière de plaine, pourtant cela devrait être le contraire puisque certains affirme que les populations de poissons ont augmentées et que la qualité de l’eau s’est améliorée…

J’imagine que toi (ou le clan de ceux qui s’en foutte des chiffres)

je fais parti du clan pour savoir que dans un sens ou un autre on fait dire tout et rien à des chiffres, ce que j’ai écris au dessus c’est en fréquentant cette rivière et de nombreux autres pêcheurs que les constats catastrophique à été fait et d’ailleurs continu malheureusement tu n’aura pas de chiffres…

Je te rejoint sur certains points le premier étant qu’il n’a rien a faire chez nous mais il sera très difficile voir impossible de le faire disparaitre.
J’ai trouvé l’étude pas mal et instructive , elle nous apporte pas mal de réponses à des questions que je me posais.
Ce poisson est un opportuniste c’est même cette capacité à s’adapter à la nourriture qu’il a à sa disposition qui le rend dangereux pour certaines espèces de nos rivières.Si il y a des brèmes et il bouffe des brèmes , si il y a des carpes et bien il bouffe les carpes , des mulets , pas de problèmes ils seront au menu.Tout lui fait ventre il s’adapte a la nourriture qu 'il a le plus a disposition dans son environnement proche.Et bien sur au final tu as raison quand la proie la plus abondante est lui même et bien il devient cannibale et par voie de conséquences les effectifs diminues.
Il me fait pensé au rat taupier qui se reproduit et explose en population jusqu’à crever de faim car les parcelles qu’il fréquente sont devenues des champs de patates retournés.On a donc une courbe sinusoïdale des effectifs entre quelques individus et des milliers a l’hectare.
En Dordogne on est en phase de progression et dans le Rhône en régréssion.Je mettrai bien un billet sur le fait que les effectifs repartirons à la hausse après quelques temps.
Pour le moment sur le secteur où je pêche le brochet on croise des 1 mètre 1.30 soit la catégorie qui fait le plus de « ménage » car pas de gros pour les calmer.Ils sont de plus en plus nombreux mais toujours de même taille.Il doit s’agir des éléments qui se font chassé par les plus gros en aval tel qu’il est dit dans l’étude.
On ne peut être que spectateur car que faire pour limiter la casse ?

Faut y arrêter.
le réchauffement climatique, les dérives, c’est ni la faute de l’edf, ni celle des gamins qui ont relaché leurs tortues poissons serpents dans la nature (même si on leur foutrait bien deux trois baffes).
c’est notre fardeau à tous, humains.
c’est pas pasque on pêche à la mouche en relachant toutes les prises qu’on est exempt de responsabilité.

  • on part le matin avec une canne carbone, un moulinet alu, une soie pvc, un bdl nylon, une mouche minable qu’on a fait nous même avec des outils et matériaux de pointe ou pas… bilan carbone?
  • on fourre tout dans la voiture, dont on a fait le plein (electricité, sp95, GO, GPL, peu importe, la conso en energie fossiles des unes est compensée chez les autres par l’energie grise de production)
  • on oublie pas la carte de pêche, achetée online, depuis notre pc allumé 24/7, imprimée plastifiée ou stochée sur notre téléphone,
  • on prend aussi un peu de fric ou de bouffe,

et à la fin on relâche la mignone truite pasque on est respectueux des bestioles et de la nature…

j’en suis, d’entre vous.

Si j’étais un farou j’aurais aussi parlé:

  • de la quinoa qui profite pas aux andins,
  • des toilettes sèches qui sont pas la solution à NYC ou HK,
  • du photovoltaique qu’on sait pas recycler,
  • des éoliennes que l’on fait tourner au moteur qd il y a pas de vent, pour le fun,
  • des vide ordures dans toute la région parisienne, compatibles avec l’absence de collecte sélective de l’IDF, par ailleurs imposée à ma commune (500habitants)…

Donc oui, ça se dégrade.
Nous ne laisserons pas la terre à nos enfants dans l’état dans lequel nous l’avons trouvée.
Critiquer les scientifiques, leurs études, l’EDF, les aappma, les pêcheurs qui remplissent le congélo ou qui choppent un poisson sans s’etre mouillé la main auparavant et les autres, n’y changera rien.
Commençons par œuvrer, chacun, pour limiter la casse.
Et ça commence par une lecture éclairée des études scientifiques.

sans se prendre la tête. Juste en essayant de comprendre et d’apprendre.

bon, sur ce, à la votre, :tumbler_glass: je bois locavore à la santé de notre fragile vaisseau, qui nous survivra.
4 milliards d’années restantes, ça va permettre à Dame Nature de jouer encore un peu :wink:

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Je pense qu’on est tous d’accord pour regretter la présence de ce poisson dans nos eaux.

La question n’est plus là. Il faut d’intéresser à comment gérer au mieux sa présence.

C’est en ce sens que les pistes évoquées dans ces études semblent intéressantes. Classer l’espèce nuisible pour l’eradiquer semble être la pire des solutions.

Par contre, se servir du cannibalisme des grands silures semble être une piste à privilégier.

Fred

Oui je pense que c’est ce qu’il va se passer, dans les secteurs colonisés et propices aux silures il n’y aura plus que quelques gros silures et des petits, une pyramides âges un peu inversée. D’ailleurs pour le brochet c’est ce que je remarque dans les étangs qui ne font pas l’objet de prélèvement et après une longue période sans vidange, il reste 3-4 gros brochets à l’hectare et des petits de l’année, entre les deux pratiquement rien.

Les secteurs où j’ai pêché les plus gros salmonidés sédentaires étaient des zones avec de monstrueuses populations de brochets. Seules les truites de 60+ passaient à travers la prédation.

Fred

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oh mon poulet, heureusement que tu es la sinon je serai passé à la casserole
"Alors lui faire un procès parce qu’il est juste ‘moche’ et gros"…

Sans être élitiste, je considère que la pêche du silure n’a rien à voir avec la pêche à la mouche. Autant de rapport que le tam-tam, avec la musique philarmonique. Pourquoi pas la pêche au cachalot.

D’ailleurs, je rappelle aux vrais amateurs de pêche au gros, que sur nos côtes, il est possible de pêcher du requin, mais aussi un poisson également filiforme, le congre. Et là, c’est une autre paire de manche. Allez mettre vos doigts dans la gueule d’un gros congre. De plus on peut le pêcher du bord, et c’est gratuit. Rien à voir avec une pêche au treuil de grosse limace ! Même si un silure se débat un peu, rien à voir avec un congre. Allez faire un essai ! Vous pourrez en reparler en connaissance de cause, après.

Curieux pays où certains préfèrent privilégier et protéger un prédateur invasif introduit illégalement, plutôt que la richesse de la population piscicole existante.
Il y a un moment où la sensiblerie doit laisser place à la réalité, et à l’efficacité. Encore faut il un minimum de volonté. Je conçois qu’il ne soit pas facile pour des amateurs du relâcher systématique d’accepter d’agir autrement, mais quand le laisser-faire, et le laxisme mènent à une situation malsaine, ou catastrophique, il faut outrepasser ses sentiments, et agir.

Il est vrai que beaucoup ne peuvent pas connaitre une autre époque où la pollution, et les silures n’avaient pas encore sévis, ils n’était pas nés, (sur ce dernier point, il est évident que je les envie). Mais cela ne leur donne pas le droit de nier une réalité qu’ils n’ont pas connue.

Avec un tel comportement, on ne peut que constater que de plus en plus de pêcheurs français partent pêcher dans d’autres pays: Norvège, Espagne, Italie, Suède, Russie, Nouvelle Zélande, etc… où règne souvent une gestion, et une protection plus intelligente, de la faune piscicole.
Mais je ne vois pas beaucoup d’étrangers venir spécialement en France pour pêcher du silure.
D’ailleurs personnellement, si j’étais amateur de ce poisson, j’irai le pêcher sur les bords du Danube où il atteint des records de plus de trois mètres et plus de 200 Kg.

Je ne conçois pas qu’un site normalement consacré à la pêche à la mouche, puisse se focaliser sur cette pêche à la limace géante, avec des appâts qui n’ont plus rien à voir avec une quelconque éphémère.
Tant qu’il en sera ainsi, je pense qu’il n’y a plus d’intérêts, à s’y passionner, le charme est rompu sinon corrompu.
Un grand merci, donc à ceux qui en sont la cause ! Il ne reste plus qu’à attendre des jours meilleurs et des sujets plus sains.
Ce sera mon mot de la fin !

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Mort de rire… et j’imagine que pour toi la pêche à la mouche c’est en sèche seulement ?

On en parle même dans le Figarooooooo!!!La policière disparue dans la Seine à Paris reste introuvable

C est ridicule cette comparaison silure vs congre, franchement…

Gurvan

@rio je ne vois absolument pas le rapport entre le silure et ce malheureux et triste évènement ? …:face_with_raised_eyebrow:

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Ouais, en fait t’as jamais pêché le silure.

Le coup de l’âge et de la pollution…restons sérieux!

:crazy_face: Ma parole! Viens en Bourgogne, je t’en montrerai! Les campings des petits villages riverains de la Seille, du Doubs de la Saône en regorgent!

La discussion porte bien sur les études liées au développement de l’espèce silure, tu n’y opposes que des poncifs sans fondement. Tu n’aimes pas le silure, je l’ai bien compris, comme d’autres je pense, mais n’en fait pas le responsable de tous les maux! Si on doit enlever tous les silures qui prennent du migrateur dans les écluses, passes, barrages, qu’on enlève au passage les pêchailoux qui y pêchent à la chaine!

quand vont ils faire une étude sur le cormoran!! à Bergerac sur la Dordogne ils sont aussi nombreux; il a bon dos le silure… et l introduction du sandre a fait moins de polémique a son époque pourquoi … car il est moins gros ou peut être meilleur a manger… a méditer pour ma part.

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Le rapport Tanzilli est consacré « étude scientifique » par les fanatiques, alors que le gars est un guide professionnel qui vend (cher) de la pêche au silure. Son indépendance, son objectivité sur le sujet n’ont aucune crédibilité.
De plus il tire de ses observations qui ne respectent aucun protocole impartial des conclusions erronées. Exemple repris en boucle par les fanatiques : le silure ne gène pas le milieu parce qu’il s’autorégule par cannibalisme des gros spécimens. Voyez dans son « étude » sur le contenu stomacal : dans un milieu où la nourriture est encore abondante (avant qu’il ne dévaste tout…) il n’y a pas de cannibalisme. Cherchez l’erreur…

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