Merci pour le compliment Denis ,Mais le parcours d’arvis ce situ sur l’aappma de Bugeat, sur l’aappma de la truite des Monédières un tel parcours n’est pas envisageable .
1 « J'aime »
en effet on a sur le no kill d’arvis a bugeat de la belle mémère bien combative!
je m’y suis amusé fin juillet/début aout, et j’avoue que même sur du 12 ou 14/100 faut pas brusquer les choses sinon c la casse assurée… 
quand a filmer/prendre photos, c pas de la tarte quand on est seul.
1 « J'aime »
En plus dans les cours d’eau où il y a de grosses farios ou des brochets, elles servent de poisson fourage 
2 « J'aime »
…en amenant parfois des maladies à la population locale , aussi…
Oui de la belle fario déjà pour taper de la portion 
sans trop de surprise , si le milieux d’introduction n’est pas microscopique …
Juste le double de longueur suffit…
1 « J'aime »
au final l’intéret c’est de faire plaisir au pêcheur et de favoriser la consommation de poisson qui est très bon pour la santé 
@+
Mythe&Légende.
C’est toujours l’inverse qui se produit a savoir que se sont les parasites et pathogènes du milieu extérieur qui contamine les piscicultures de truites.
A+
J
1 « J'aime »
BJ
Ah bon !
Expérience personnelle ,bassin avec des poissons rouges dont certain de souche ( nés sur place ) introduction d’amours ( 4) venant d’un magasin de la région de Bordeaux (Gradignan) ,résultat population réduite presque à néant (poissons nécrosés ) et amours mort mais eux RAS ( retrouvés sur la berge )!
Bon: suicide collectif des poissons rouges ?
Non poissons introduits malade qui ont decimés les locaux ( réponse d’un véto spécialisé )
JC
1 « J'aime »
John parle de truite. Pas de poissons rouges.
Pareil avec les saumons, les élevages sont une plaie pour les saumons sauvages au niveau sanitaire.
Fred
Bin oui c’est bien le problème des milieux clos où la densité de poisson d’élevage y est forte ce qui les rends ultra-susceptible de ramasser tout ce qui passe, c’est une grosse différence avec le milieu naturel.
A+
J
1 « J'aime »
Parfois les AEC malgré des conditions d’élevage intensif font preuve de résilience, il y a une + d’une 20aine d’années un déversement accidentel dans un petit fleuve de la Manche avait donné lieu à des remontées (certes limitées par rapport à la quantité perdue) de formes migratrices steelhead dans les 2/3 ans qui ont suivi, sans reproduction puisqu’elles ne furent plus vues par la suite. Et comme leurs cousines outre atlantique, leur défense était prodigieuse dixit ceux qui ont eu la chance de les croiser. Elles avaient donc développé une capacité de vie en eaux salées, par un phénomène proche de la smoltification…
C’était des saumons pacifiques sur l’Arques de mémoire mais sur le fond tu as raison, des poissons déversés a un stade jeune peuvent s’implanter, tu noteras néanmoins qu’ils ont disparu depuis malgré tout preuve que les limites sont vite atteintes…
A+
J
Mouais, enfin au Chili ils sont bien colonisées pas les saumons échappés des élevages.
Fred
Il me semble qu’il s’agit d’introduction au Chili via des alevinages mais bon, ca change pas grands choses en fait.
A+
J
il y a eu aussi quelques steelhead sur cette rivière, j’ai vu une photo d’une 4 kg, poisson splendide. L’histoire des saumons existe aussi, c’était des cohos.
Oui, ce sont à cause des farios sauvages des rivières que « les » piscicultures doivent utiliser divers antibio’, désinfectants, fongicides et autres produits phytosanitaires .