Dépôts sauvages

Régulièrement au cours de mes sorties je tombe ( comme vous ) sur ce genre de dépôts :frowning_face_with_open_mouth:
Ça c’est aujourd’hui, une rivière est juste derrière les arbres.
Quand moins de 1% de la population pourrit la vie des 99% autres, en toute impunité, on se dit que les recommandations du GIEC, c’est pas gagné.

2 « J'aime »

Cela va être un gros défi pour avancer sur le problème du réchauffement climatique.

Quoi qu’on fasse, il y aura toujours entre 1 et 10 % des gens qui n’appliqueront pas les mesures mais ce n’est pas ce qui doit nous empêcher d’avancer.

On le voit dans tous les domaines, il y a toujours des gens qui ne se plient pas aux réglementations. J’ai quelques voisins qui tous les ans continuent d’utiliser du glyphosate alors que c’est interdit (toujours les mêmes), il y avait les antivax, les climato sceptiques, on a toujours des braconniers et des gens qui vont balancer leurs déchets dans la nature.

Le monde est ainsi fait.

Fred

1 « J'aime »

1 à 10%, vous êtes gentils, je fais régulièrement du vélo, et je pense qu’il y a beaucoup plus de « salauds » qu’on ne le pense, quand je vois ce que énormément d’automobiliste balance sur les bas côtés des routes.

2 « J'aime »

Oui après entre 40 pneus et un papier gras, c’est pas la même chose non plus.

Fred

En VTT les dépôts sauvages dans les chemins par des particuliers, des artisans sont légion par chez moi. Sans compter les toitures en amiante, balancées, sur lesquelles on a roulé au tracteur et qui du coup relarguent des micro particules (fibres) cancérigènes. Quant aux rivières, idem, les chalkstreams où aucune crue ne vient « nettoyer » sont parfois abominables : bâches agricoles, bidons vides d’agro-chimie, canettes multiples, etc…

Je connais un parcours urbain où il n’y a pas 1m² du fond de la rivière indemne de merdes, malgré le fond limoneux on glisse tellement il y a de canettes… sans compter les pneus, porte manteaux, vélos broyés, abominable… mais poissonneux… paradoxe.

1 « J'aime »

je connaissais un poisson qui avait élu domicile dans un caddie pourtant loin de la ville emmené pas les crues, elle faisait son parcours tranquille mais dès que tu état repéré elle se planquait dans le caddie :grin:

2 « J'aime »

L’usure des pneus sur l’asphalte est aussi une grave source de pollution pour les cours d’eau et ce n’est qu’une petite partie du problème.

Il y a aussi des déchets laissés par des pêcheurs le long des cours d’eau et autours des lacs de montagne.

2 « J'aime »

au bords des lacs je suis surpris.
comme le dit NADAU les cons ne supportent pas l’altitude

1 « J'aime »

j’ai jamais dis le contraire…:roll_eyes:
S était surtout la situation cocasse de cette truite et son caddie :smirk:

… et pas non plus la même chose que quelques milliers ou dizaines de tonnes de produits " phytos"(agricoles par exemple…)

CQFD…Ne pas s’attarder au Visible .

… d’ailleurs :

Faut remettre les charrettes en service ou bien plus de pneus on roule sur la jante :smiley:

Oui c’est ça, chaque fois qu’on va à la pêche en voiture ou en vélo d’ailleurs, on pollue les rivières avec les particules de pneus.

Fred

Il y a bien l’ULM pour aller sur la dordoge mais là , c’est l’atmosphére qui ramasse c’est trop injuste :grin:

Bonjour,

Je suis en train de lire ton commentaire alors que je suis pile devant ce cas de figure en ce moment : ruisseau en pleine ville, fond assez crade, eau pas très nette… mais pas mal de gobages et de nombreux bancs de poissons en maraude !

Ça me donne aussi ce sentiment de paradoxe.

image

image

image

Désolé pour l’orientation des images. J’ai beau les réduire à leur minimum en taille, elles apparaissent tournées​:camera_flash::slightly_frowning_face:

1 « J'aime »

« Les cons ne supportent pas l’altitude » il faut avoir pratiquer un tant soit peu l’alpinisme pour avoir pu constater sur les glaciers et autres voies d’accès aux sommets la quantité impressionnante de déchets abandonnés à des altitudes ou visiblement les cons ont pu s’acclimater.

4 « J'aime »

Comme quoi l’être humain à une faculté d’adaptation que n’ont pas les poissons

Au demeurant surtout une faculté de nuisance.