Je vous lis souvent parlant de mouches sèches h18 h20 voir plus petit encore, comment faites vous pour les voir ?
Je discerne parfois mal du h16 en fonction du contre jour malgré des lunettes polarisantes, plus petit, je n’essaye même pas.
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Tout dépend de la configuration des lieux : on évitera bien sûr de pêcher en h22 dans les bouillons ou en eaux torrentueuses.
Mais pas besoin de pêcher uniquement sur les grands lisses pour utiliser de petites mouches. De manière générale, l’aile en cul de canard donne un bon confort visuel. On peut aussi doubler l’aile avec, au-dessous, un ton naturel, et au-dessus quelque chose de plus brillant, par exemple du bleu ciel qui se voit souvent très bien.
Et sinon, lorsque la visibilité est vraiment mauvaise, la règle est surtout qu’on ferre au gobage, sachant plus ou moins où se trouve la mouche (c’est encore plus vrai quand on pêche avec de micro-émergentes).
Merci, j’essairai ça. Pas mal l’idée du CDC bleu clair. Y a plus qu’à monter des petites mouches 
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Le rose aussi se voit très bien pour les petites tailles et marche bien surtout pour les ombres.
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Pas de polarisantes en sèche car cela assombrit et gêne la vision des gobages dans les courants ainsi que celle de la mouche en surface. A réserver à la pêche sous l’eau.
sur h 18 et 20 y encore moyen de monter un parachute, après plus petit j’ai pas essayé, le tout est d’avoir des hackles suffisamment courts et réguliers pour faire quelque chose de propre et de proportionné.
adrien
je ne suis pas tout a fait d’accord avec ça, si tu traques en sèche a vue les beau poissons t’as plutôt intérêt a en avoir des polarisantes…!! donc ne pas les réserver que pour la pêche sous l’eau a mon sens.
mais c’est vrai que selon la position du soleil en sèche les polarisantes sont parfois mieux autour du cou 
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Tu as raison pour ce cas précis (pêche à vue en sèche) mais en pratique c’est pas si souvent qu’on pêche en sèche, à vue, des poissons qui ne gobent pas. Dans tous les autres cas, ou on pêche sous l’eau et on met effectivement des polarisantes, ou on pêche en surface et les polarisantes créent un handicap. Par ailleurs, sous l’eau, on observe un secteur très limité de rivière (quelques m2 tout au plus) alors qu’en sèche, l’observation des gobages est au contraire très large. il faut choisir entre les deux et adapter son observation et ses accessoires en conséquence. Par ailleurs, effectivement, en très petite sèche, il faut apprendre à pêcher sans la voir réellement et en anticipant la dérive supposée de la mouche.
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