Je pêche principalement la Chiers, la Sarre Rouge et, dans une moindre mesure, la Sure (Luxembourg). Pêche à 90% en sèche sur gobages ou en tapant les postes et le reste au streamer. J’ai fait des stages nymphes mais n’en vois pas l’intérêt vu les résultats en sèche et au streamer.
1 « J'aime »
Une année « normale »,sur les rivières que je fréquente assidument.
Dourbies et ses affluents,Tarn,Jonte,et bien d’autres dans le secteur.Les niveaux ont été correct jusqu’à fin juillet ainsi que le temps ce qui a permit une pêche intéressante même dans la journée.Certaines rivières souffrent d’un « tourisme aquatique » néfaste ,en particulier le tarn et la dourbies ainsi que des problèmes de pollution stp la plupart du temps surchargée.
Quelques points positifs cependant.Sur les têtes de bassin,la population de truites se portent bien,la taille des poissons prit et vu actuellement sur les frayéres confirme cette analyse.
J’ai la chance de pêcher pratiquement tous les jours,ainsi on profite des meilleures périodes,mais je reste tout de mêmes optimiste.
2 « J'aime »
Année exceptionnelle de mon côté. Sans conteste ma meilleure saison depuis que je pêche à la mouche. Des éclosions magnifiques tout au long du printemps, la pluie et le temps couvert m’ont comblé de bonheur. J’ai bien varié les plaisirs sur différents parcours de la Sioule. J’ai même eu la chance de toucher de gros poissons. Pêche en sèche quasi exclusive sur gobage. Une dizaine de poissons seulement pris en nymphe sur la saison.
Je retiendrai surtout des niveaux d’eau satisfaisants tout au long de l’été, chose qu’il faut savoir apprécier à l’heure actuelle.
4 « J'aime »
Pour ma part, c’est une très bonne saison qui se termine en beauté, avec des poissons de 50 cm dans le parcours no-kill de Couffoulens et Preixan, dans l’Aude.
Je dispose d’un peu plus de temps libre, du coup je suis parti en exploration à la fois dans le Tarn ( quand la première catégorie était ouverte ) et aussi dans mon département afin de découvrir des parcours que je n’avais jamais pêché.
Essentiellement en sèche sur les truites de la Montagne Noire, en sèche et en nymphe pour les ombres dans l’Aude, j’ai pour la première fois dépassé la barre des cent poissons pris.
En ce moment, les eaux sont basses, claires et froides, à croire qu’il a neigé sur les Pyrénées 
!
Il faut passer entre les éclusées ( une pensées à tous ceux qui alimentent le fil sur la Dordogne, ça ne doit pas être simple quand on voit les courbes ! )
Bien cordialement,
1 « J'aime »
Ah ben çà fait plaisir que tu publies enfin des noms, même si sont des secrets de Polichinel; mais tu as oublié la Crusnes aussi !
(et la Sarre Blanche que tu nous vantais il y a quelques temps et totalement privée, c’est çà ?).
Il ne s’agit bien sûr pas de la Bruche,que nous tu as dit bien connaître) à10 min de chez moi, où les gobages sont absents depuis maintenant 5 ans environ(et Dieu sais si je l’ai écumée) à part encore un peu sur la partie tout amont.
C’est donc le Doubs franco-suisse dont je parlais:
OUI, de très grosses éclosions au coup du soir; fin juin/début juillet puis début septembre:
Par contre, n’étant qu’un piêtre pêcheur, j’avoue n’y pas avoir réussi à y piquer 10 à 20 poissons dans la soirée !
Ce qui ne m’y est d’ailleurs jamais arrivé en 25 ans de pratique!!! 
P.S. Nombre/« score » qui aurait peut être pu le faire sur des ombrets entre 15 et 25 cm !!!..
Je me le suis toujours interdit, pour des raisons d’éthique… et totalement dénudé d’intérêt et de sens pour moi.(le no-kill ne dédouanne pas de tout !)
VULGATA .
Enfin une réponse. Pour ma part, j’ai connu de vrais coups du soir sur le Doubs à Goumois mais c’était il y a longtemps. Tu évoques la Crusnes sur laquelle j’ai commencé la palm il y a plus de 40 ans. A l’époque, on n’insistait pas sur un gobage récalcitrant, on changeait de gobage en faisant quelques pas. Aujourd’hui quand on y voit 3 gobages en plusieurs heures… on a de la chance…Mon expérience de la Bruche remonte à plus de 10 ans mais à l’époque on y prenait beaucoup de poissons plutôt petits il est vrai.
Un ajout: tu es mal renseigné car la Sarre blanche n’est pas du tout privée car geree par une aappma. La Sarre Rouge en revanche est heureusement sortie du système fédéral laxiste pour devenir gérée par une association qui fait du très bon boulot.