Comment aborder la pêche en nymphe en grande rivières

Bonjour ,

Un sujet a était ouvert sur comment abordé la pêche en sèche en grande rivière , il est très intéressant je me disais justement que le même sujet mais sur la pêche en nymphe m’intéresserait beaucoup car tous comme en sèche des jours les poissons sont la en nymphe et d’autre jours ils ne sont pas la.
Quelles sont les détail qui peuvent m’échapper pour localisé le poisson.
Ou es le poisson et quand ?
Ah mon avis j’ai surtout du mal a localisé les poissons au repos et leur proposé la bonne chose a ceux moment la .

Ça dépend de tellement de paramètres que c’est pas possible de dire : ils sont là et demain 10m plus haut.

Faut appliquer à peu près les mêmes conseils que dans l’autre sujet ! Pratique, pratique, pratique …
Si tu ne les trouve pas où tu as l’habitude de les trouver, alors change et essaye autre chose. Voire essaye totalement autre chose, y’a que comme cela que l’on progresse et que l’on peut comprendre ce qui se passe !

Alors observe les insectes (qu’est ce qui éclot? quand ?), observe l’environnement (condition météo, oiseaux, …) et pêche en essayant des choses !

A+

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Pas mieux, lors de ma période nymphe sur la Dordogne, je repérais les poissons au coup du soir grâce à leurs gobages et le lendemain, entre midi et deux, je revenais sur le poste pour les pêcher à vue. L’eau étant noire, ce n’est pas simple, mais ça marchait pas trop mal sur certains postes.

Sinon, au fil je tapais dans les bancs d’ombres connus par expérience.

Le sens de l’eau est essentiel pour comprendre la tenue des poissons en fonction des vitesses de courant.

Bon courage. Il faut de l’abnégation pour pêcher en nymphe en aveugle, surtout pour faire de beaux poissons. Je préfère dorénavant la garder pour le stream.

Fred

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De mon point de vue, si c’est pour découvrir une grande rivière je déconseillerai la nymphe (à moins d’avoir une très grande maitrise de cette technique). En priorité je conseillerai la sèche sur gobages qui te force à observer au maximum le fonctionnement de la rivière, ensuite si l’activité de surface est insuffisante la noyée permet de balayer du terrain rapidement et efficacement.
Je fais souvent comme ça : pêche en sèche en remontant la rivière à la recherche des gobages avec longue observation des secteurs propices (parfois un coup de NAF dans les courants) et puis retour au point de départ en descendant les courants en noyée.

A+

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