Insecte ? Quelle imitation possible?

Oui, c’est le cas avec de nombreuses espèces de plécoptères. Toutefois, ceux là, ils émergent en pleine eau de fin octobre à avril et c’est à ce moment là qu’ils intéressent les poissons.

Quand les femelles pondent et qu’on les remarque, le fête est finie depuis bien longtemps.

L’observation, l’observation… C’est primordial lorsqu’on pêche à la mouche.

Fred

bonjour
je suis d’accord avec toi,après avoir souvent observé des plécoptères,leurs dérives sont très courtes.Les rares fois où j’ai pris des truites sur des gobages de pléco les poissons étaient de belles tailles et prenaient sans hésiter.Sur la rivière d’ain l’année dernière,2 truites gobaient de gros plécoptères au pieds d’une petite chute d’eau,les insectes semblaient englués dans la pellicule,ma pointe en 12 n’a pas résisté.
Joseph

j’ai oublié de parler de l’imitation possible, une mouche de belle taille avec des ailes à plat fait en général l’affaire.Comme l’a bien dit Fred l’observation de la dérive de l’insecte est primordiale c’est cela qu’il faut reproduire.Très souvent lorsqu’on arrive sur un gobage l’excitation est trop forte et peux nous faire oublier certains fondamentaux.Avec l’age j’ai pris conscience de cet état et je m’efforce de relativiser la prise ou non du poisson.La réussite dépends beaucoup de la prise d’information.
Joseph