Ben oui, tu vois bien que j’ai pris ces photos depuis mon canap’ 
J’en suis plutôt à ça… et ça me va bien 
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Attention, les chevaisnes, les vandoises et autres blancs entrent en période de reproduction.
Joli ruisseau. On attend les photos des poissons. 
Sinon pour continuer sur la carpe…
Fred
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Les voilà, si tu y tiens…
Pour tes prochaines « gueules cassées » de carpes prises sur leurs frayères, pas la peine de tendre les bras pour l’effet d’optique « réseaux sociaux »…
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On voit encore bien les digitations juvéniles sur ces poissons. Quand est ce que tu te mets à pêcher des poissons adultes ou qui ne sortent pas d’une pisciculture comme le premier ?
Fred
Ils sortent tous de pisciculture
Bosse pas trop mal le pisciculteur alors.
Fred
Je ne comprends pas, dans la vidéo ci-dessous, la nécessité de pêcher si lourd. Au-delà du ploc énorme sur des poissons soi-disant farouches, ces carpes ne semblent pas se trouver dans une colonne d’eau si importante impliquant de pêcher avec des imitations aussi lestées. Ou est-ce le volume très important de ces mouches et le type de lancer qui génère cet impact très important ? Non, ça a l’air lourd quand on regarde comment ça s’immerge. Pourtant, il y a moyen de présenter de grosses mouches de manière bien plus discrète, et en atteignant des profondeurs importantes malgré l’absence presque totale de lestage.
De plus, je me trompe ou il y a ici beaucoup de ferrages au hasard, « pour voir » ? qui doivent générer pas mal de prises par le bord ?
Je n’y connais rien, donc ce ne sont que des questions.
En tout cas, ça peut devenir passionnant comme pêche à vue, bien sûr.
Le lestage excessif permet parfois de soulever qq sédiments pour attirer l’attention du poisson qui ne va jamais faire des écarts de dingue pour venir chercher l’imitation, quant au ferrage c’est moins évident qu’une truite, tu ne la vois pas nécessairement ouvrir un four, ou s’arrêter à mi-eau parfois elle mâchouille là on le voit, sinon c’est un peu au jugé. Je suis partisan de bien lester les mouches sans bas de ligne démesuré pour faire couler du plus léger, mais d’autres approches sont sans doute également efficaces.
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Lester ses mouches permet de pêcher de manière plus agressive en faisant couler les mouches plus vite.
Mais on prend le risque de faire peur à la carpe au moment du posé.
En fait tout dépend de la profondeur où se situe le poisson. Entre la surface et 60 cm de profondeur, le poids de l’hamecon suffit en général pour descendre à la bonne profondeur.
Les mouches de la vidéo ne semblent pas lestées. Et il est trop nerveux au ferrage. Il pourrait attendre bien plus longtemps. Car le plus souvent, avec les hameçons à carpes affûtés comme l’enfer, elles se piquent à la moindre tension sur le fil.
Fred
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Bonjour,
Quand on a la chance de les tenter à vue, et avec les départs ( et les combats ) qu’elles font, je comprends que ce soit addictif !
Et puis, quel beau poisson !
Bon visionnage :
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Oui c’est 99% du temps à vue donc c’est très palpitant.
C’est un poisson omnivore qui prend à peu près tout ce qui lui est bien présenté.
Le plus dur c’est de trouver un endroit ou on les voit et de bien leur présenter la mouche.
Fred
1ère carpe touchée à la mouche aujourd’hui sur un lac près de Toulouse, ça dépote !!
Sur une nymphe noire
Ils en avaient plusieurs qui maraudaient en surface, mais rien à faire, essayé plusieurs mouches, sèche, dans la pellicule, noyé, nymphe, rien à faire
Coup de bol sur la première
Mais ça donne envie de retenter
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Bravo c’est toujours beaucoup d’émotions que ces carpes à vue. On y prend vite goût.
Fred
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Je suis un pêcheur médiocre, sans doute parce que pratique un peu tout (leurre, anglaise, carpe, mouche) donc assez mal. Du coup j’aime « panacher » et la carpe a la mouche c’est top. Moins pour le poser ou le choix de mouche que pour le combat sur un poisson puissant avec une canne permettant de tout ressentir. J’ai lu les observations sur le « lourd ». J’y suis passé pour cause de grosse prises. Les bas de lignes ne résistaient pas en fin de combat et monter en centième pouvait menacer la canne pour des poissons dans la gamme>10kg de ma gravière. Du coup 9’6 #8 en vieille Sage. Bas de ligne en 20 ou 22. Rarement, mais vue sur des mémères je monte en 25 mais les carpes les voient. Deux techniques : imitation de pain en surface ou a fond avec une imitation mais. Mon record est aujourd’hui a 14,6kg.
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Bonjour,
Les rares carpes que j’ai pu côtoyer, c’était soit en cherchant le chevesne en rivière ( Aude ), soit en lac ( Montaut, en Ariège ), dans tous les cas bredouille !
Les carpes de l’Aude ont été plus coopératives que leurs copines du lac, puisqu’elles sont venues prendre mes imitations, mais en 14 / 100è c’était voué à l’échec !
Je comprends que la traque de ces poissons soit addictive, je vous ai trouvé cette vidéo, mais est ce encore de la pêche à la mouche ?
Le matériel est le bon, mais avec des vers canadiens, c’est étrange ( quoi qu’il me semble avoir lu il y a longtemps que c’est " la mouche du laboureur " 
)
Je vous laisse juges, bon visionnage :
