Je suis sans voix…
On y est avec toi, on voit les images a travers tes yeux, quel incroyable récit 
Merci mille fois !!
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A tous, un très grand merci pour vos nombreuses réactions. J’ai essayé d’être aussi précis que possible dans la retranscription de cette journée mémorable, même si les mots, comme les photos, ne seront jamais à la hauteur de l’instant vécu. Je suis heureux que vous ayez apprécié le récit de cette aventure dont je n’arrive toujours pas à croire qu’elle ait fini par bien tourner. Ç’eût été un film, que j’aurais trouvé la fin un peu exagérée : c’est toute la magie de la pêche à la mouche, que de nous faire vivre, parfois, les scénarios les plus inespérés, et de nous proposer des émotions - rudes et heureuses - d’une intensité folle.
Je continuerai longtemps de revoir, au moment de m’endormir au bout d’une journée harassante de boulot, cette gueule d’un autre monde percer la surface de l’eau et s’ouvrir sur cette mouche minuscule.
Merci, et à bientôt pour la prochaine aventure.
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Elle a ramassée ta pointe, il aurait pas fallu que ça dure plus que ça…
Par contre je suis étonné que tu ne coupes pas plus près de l oeillet ton fil 
Quand j’ai vu ça, je n’ai pu réprimer un frisson…
La tragédie ultime n’était pas loin en effet, et ç’aurait été un tout autre récit. Le diamètre du fil était vraiment limite, mais il a fallu composer avec les moyens du bord et gérer au mieux le combat en flirtant avec le point de rupture.
Ça crée une patte supplémentaire, décisive sur les grosses truites 
Plus sérieusement : il fallait se donner toutes les marges de sécurité possibles vu la situation. Et de manière générale, quelques millimètres de fil ne m’ont jamais paru gêner le poisson. Je préfère ne prendre aucun risque, surtout s’il s’agit d’une belle occasion.
Un autre exemple ici, parmi d’autres :
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Je fais comme toi à savoir que je ne coupe jamais mon fil à ras. Trop risqué si le noeud se défait sur une belle prise. Le poisson s’en fiche effectivement.
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J aurais été étonné que ce ne soit pas volontaire 
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Magnifique récit , quelle plume , on est totalement dans l’action .Félicitations !
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Bonjour, j’ai lu ton long récit . Tu as un vrai talent d’écriture … à travailler encore et encore…
Bien que ce ne soit pas la mouche mon récit préféré de pêche (celui qui me fait rêver vraiment) c’est celui D’Hemingway qui se trouve dans ses écrite de jeunesse « Les aventures de Nick Adams » : La grande rivière au cœur double. Très belle réflexion sur la pêche mais aussi sur la littérature et l’écriture. Je te le conseille si toutefois tu ne l’as pas encore lu. Bien cordialement. Gérard
ps dans quelle région pêches-tu ces somptueuses truites?
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c’est peut être pour cela que le nœud a tenu…
je ne découvre ce récit qu’aujourd’hui: sublime. Les scènes se sont déroulées devant mes yeux en le lisant.
Bravo pour le récit, pour la journée et le coup de ligne final.
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Je découvre ce récit au retour d’un petit tour sur la Thur où les gobages commencent (enfin), mais il y avait beaucoup d’eau. Félicitations pour le partage!
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