Oui c’est très joli et assez valorisant mais quand on on laisse une dans un arbre ou autre, c’est bof…
Alors j’en utilise de temps en temps puisque j’en ai, mais je monte, beaucoup plus rapidement des corps détachés tous faits, fabriqués par Hemingway’s en Serbie…
Ils sont dispo en plusieurs tailles et coloris et on a moins de regrets quand ils sont foutus…
Le montage d’ailes de type « wally wings » vrille énormément. Pour les miens même en 18/100 ça vrille, donc faut du 20/100 mini, surtout vue la taille de tes ailes.
Je t’assure que ça n’est pas compliqué !!!
Je suis un « jeune » monteur (mais déja un vieux bonhomme…) car je ne m’y suis mis que durant le confinement du printemps 2020.
J’ai commencé à monter ce type de mouche 5 mois plus tard…
Je crois que c’est juste une question de méthode, et de matériau, car autant il est facile de se procurer de l’élan, autant il est plus compliqué de trouver des plumes de canard hd-hoc, en l’occurence des Veniard sélectionnées
Ces corps sont beaux, réalistes, fonctionnels et très prenants. Sur les retombées de tipule ces mouches font un malheur.
Mais, car il y a un mai, elles sont très fragiles. Après quelques prises, le corps se casse au ras de la hampe ou se désintègre.
Dommage car le montage est très beau.
Fred
Oui pour des corps détachés solides et souples rien de mieux que la laine acrylique:
Superbe mouche, félicitations pour la créativité
Je traverse ma période « Kinckhammer »…
Le corps est, ici, monté avec un « body quill » d’Hareline…
Le truc est très conique et au montage, la segmentation se fait toute seule. Le hic, c’est qu’il semble nécessaire d’imerger ces quills un bon moment dans l’eau tiède avant de les enrouler, car, à sec, ils sont très cassants.
Le thorax est en kapock…
Ces deux Klinks sont montés sur H#16 (Daichi 1167 ou Partrige 15 BN).
D’une manière générale, je bricole ces mouches en 14, 16, ou 18… J’imagine que cela peut être suffisant.
Pour ces quills (dont j’ignore la provenance) je les fous dans un bol d’eau chaude pendant un quart d’heure, ce qui les ramollit suffisament pour être tournés sur la hampe.
Bon, c’est mignon, mais, à vrai dire, je n’ai encore aucune idée de leur tenue, tant au lancer, que sur l’eau ou, (gloria Alleluia !) après un poisson… Inch Allah donc…
Bonjour,
la collerette du premier klink est en quel matériaux.(ORC?)
très joli monatage
Hello Winston
Non, pas d’ORC, mais un simple cou de coq grizzli (Keough Grade A je crois).
désolé pour la méprise,
avec le grossissement j’avais l’impression que les fibres étaient trop grosse pour un hackle
Rhooooooooo…, génial !!!
Bravo, elles sont terribles !
Essais de montage de l’assassine de Péquegnot. Je vous montre la plus « réussie » ^^
J’avais pas de perdrix pour la collerette, j’ai donc utilisé de la sarcelle mais les fibres sont vraiment molles et fines…
Voici le modèle
Merci Loic mais j’ai encore pas mal de choses à améliorer …
C’est bien fait, mais la collerette de perdrix doit être enroulée face concave vers l’œillet pour une meilleure stabilité. Comme la plume de sarcelle est trop grande, il faut la retailler, comme elle est prévue pour aller sur l’eau, ca ne choquera personne, et la position sur l’eau sera améliorée.
Le modèle présenté sur la revue est montée à l’envers.
Merci beaucoup pour ces précisions sur cette belle mouche, très simple et agréable à monter. Je vais me procurer des hackles de perdrix pour en faire une série monter dans le bon sens
Je parle de la plume de perdrix, Jean-Paul Péquegnot l’a bien expliqué dans la description ci-jointe.