Quelle truite extraordinaire en effet !
Et ce qui est extraordinaire aussi, c est d avoir su leurrer en nav et maitriser un tel spécimen .
Chapeau l artiste …
Ça taille combien un specimen comme ça ?
Félicitations ! Le poisson d’une Vie !
Quel poisson… une femeture dans les règles de l’art
Félicitation Mauro !
Quel poisson ça doit être difficile de redescendre.
Tu nous fais tous rêver avec tes récits formidables et tes photos magiques.
Quelle noce !!!
Magnifique !
Bonjour @Orpailleur , je découvre au réveil ces magnifiques photos, un seul mot me vient à l’esprit : waouh !
Quel beau poisson, quelle prise !
J’espère que l’adrénaline est un peu retombée, en tout cas te voilà paré pour les récits au coin du feu pour les longues soirées d’hiver
Est ce qu’elle passe les 80 cm ?
Bravo encore, bien cordialement,
Exceptionnel !
Mon petit doigt me dit que elle ne sera pas la dernière
je suis sous le charme de tes posts
Eric
Merci, merci à tous pour vos commentaires
Oui, c’était très, très tendu.
Pour être en mesure d’attaquer ce poisson de manière un peu sérieuse, j’ai dû sortir un matériel que je n’utilise pas souvent (une soie de 6 qui s’est révélée un peu légère - mais je n’avais pas mieux), et, surtout, il a fallu adapter le bas-de-ligne que j’utilise habituellement : j’ai coupé les deux derniers brins et attaché directement à mon 30/100 une très longue pointe en 19/100 (c’est maigre au regard de la bête, mais c’est ce que j’avais de plus gros chez moi !). J’escomptais que la longueur de la pointe, augmentant l’élasticité, permettrait de compenser, un peu, la faiblesse du diamètre. Mais c’était très limite (je le savais et m’y étais préparé mentalement) : j’ai dû beaucoup compenser par le déplacement physique, l’anticipation constante et les angles de canne. Mais de toute façon, que vous soyez en 30 ou en 20/100, il est impossible, dans ce genre de milieu, de brider un poisson pareil. Ce n’est pas le but : la victoire se joue ailleurs.
Après une bataille épique, j’ai heureusement réussi, après trois tentatives très risquées, à court-circuiter un énième rush du poisson avec mon épuisette, que j’avais placée sous l’eau en anticipant l’angle de son départ (au bout d’un certain moment, j’ai compris ce qu’elle avait tendance à faire quand je m’approchais un peu trop d’elle). J’ai senti un énorme coup, j’ai soulevé l’épuisette, et elle était dedans ! (dedans ? enfin : en grande partie « dehors », mais la tête était dedans !) Outre le fait que j’en aurais certainement eu encore pour 20 minutes de combat, ça m’a permis de la relâcher dans de très bonnes conditions : elle avait encore tout son jus et est repartie comme un missile.
Adieu, esprit des eaux !
J’avais pourtant fabriqué celle-ci exprès pour les 60+ ! Mais à côté de ce poisson, elle me faisait l’effet d’une épuisette à ablettes.
J’en avais fait un des objectifs inavoués de cette saison (réussi in extremis), et tu as raison : c’est sans doute le début d’une nouvelle obsession… (une de plus !)
Il faut dire qu’une fois qu’on les a vécues, il y a des émotions qu’on ne peut accepter de ne ressentir qu’une seule fois dans sa vie. Même si la quête s’annonce ardue (raison de plus pour lui accorder de la valeur).
Quel poisson, et quel récit… bravo!
Je suis admiratif, un truc de malade que tu as vécu, un grand grand bravo !
de jolies Drosera…!!
C est quoi la 4ème,un broc mort?
en effet c’est bien ça …
Avant d’essayer de faire aussi bien qu’@alaingaudiau avec les hirondelles, je me suis entrainé avec eux…
Sont quand même bien plus facile à suivre !
La photo vue du dessus est excellente Jean Louis .
On ne peut malheureusement pas tout faire mais c’est avec plaisir que je retournerai voir ces oiseaux majestueux , de superbes souvenirs, en plus j’avais eu la chance de les voire de près …
La dernière photo est