OK mais à la base il faut des règles strictes et ensuite contrôler. Or, pour imposer des règles strictes comme le nokill intégral, il faut déjà le vouloir collectivement de façon majoritaire…
Non cela peut être imposé par l’administration pour des questions de protection de la ressource et /ou de contamination de la chair des poissons.
Il y a de nombreux exemples.
Fred
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Non, pour que cela soit imposé réglementairement par les autorités, il faut déjà une pression en ce sens représentative d’une majorité. C’est l’essence même d’une démocratie au second degré.
Heu quand il y a des PCB dans les poissons du Rhône, l’administration ne fait pas un référendum pour obtenir une majorité. Elle prend un projet d’arrêté qui dans le meilleur des cas passe en consultation publique sur internet et d’un coup tu as des dizaines de km en nokill.
Quand une rivière comme la Loue part en vrille ==> nokill sur décision préfectorale. Que le peuple soit d’accord ou pas ça tombe.
Fred
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C’est l’intérêt général qui transcende effectivement toute autre chose. Le problème c’est que cette motivation relève de la seule appréciation des autorités législative et exécutive sous le contrôle du 3eme pouvoir, le pouvoir judiciaire. Dans certains cas c’est tout à fait justifié, dans d’autres cas, cela l’est moins…
Encore une fois non. De nombreux parcours nokill ne sont pas mis en place parce que la majorité le demande ou par intérêt général mais simplement parce que le détenteur des droits de pêche le souhaite.
Parmi les plus beaux parcours de France, beaucoup sont des initiatives privées des propriétaires des lieux. On a bien souvent parlé ici de parcours comme chez Sansonnens ou La Piquette sur notre site mais il en existe tant d’autres. La réglementation nokill ou pas d’ailleurs ne repose que sur la volonté des propriétaires dans la limite de l’arrêté préfectoral.
Fred
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On ne vit décidément pas dans le même monde… Chez nous, ce sont les pecheurs qui commencent à réclamer des nokill. Il était temps.
C’est une très bonne chose si ça vient de la base plutôt que d’en haut. Cela n’en sera que mieux accepté.
Mais il faut faire feu de tout bois. 
Fred
On est donc d’accord. Il faut prendre tout ce qui va dans le bon sens.
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Retour au sujet .
Contrairement à une pensée qui semble partagée par beaucoup , la mise en place d’un parcours no kil est très simple , le seul impératif c’est le vote à majorité de votre bureau ,( ce qui permet de mesurer la légitimité du président) ci ce n’est pas le cas , une seule solution la démission .
Sauf que les parcours NK sont bourrés d’inconvénients , je n’en citerais qu’un seul : la surconcentration de pêcheurs.
Modifier la réglementation sur tout le linéaire est largement préférable Ex. limitation drastique des prélèvements , créa
Ou alors nokill total sur tous les parcours comme cela se pratique à l’étranger et commence à se pratiquer en France… Cela évite effectivement les concentrations sur les secteurs nokill.
je continue
création de fenêtre de capture .Etc. sont des mesures bien plus rentable sur le long terme .
Alors ! pourquoi si peu d’aappma y ont recours ?
Bien parce qu’il faut du Courage , pour mettre en place des nouvelles réglementations qui risquent
d’éloigner jusqu’à 30% de vos sociétaires sans avoir aucunes certitudes d’en attirer d’autres plus favorable à ces modifications.
Je suis exactement dans cette situation , je vous en dirait plus dans quelques mois , après un premier bilan.
Il y a quand un peu plus que ça…
Posséder les baux
Receuillir l autorisation des proprios
Motivé ce projet auprès de la DDT pour qu il soit inscrit à l arp…
Si il suffisait de voter au sein du bureau on en créerait un par jour de nokill
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J’ai volontairement lissé ces détails, parce que c’est ce à quoi on s’engage , non !
C’est l’obstacle majeur chez nous dans le sud où les AAPPMA n’ont quasi aucun beaux signés. Il faut d’abord aller au cadastre recueillir le nom des proprios. Pour les parcelles en indivision, il en y a plusieurs.
Ensuite commence le marathon des signatures. C’est des soirées entières à aller chez les gens pour leur expliquer. Et quand ils n’habitent pas sur place, il faut téléphoner, faire des courriers… La plupart s’en fouttent et signent. Mais il suffit qu’un en plein milieu ne veuille pas, tout le projet tombe à l’eau.
Sans parler des anti qui eux aussi font le tour des proprios pour leur demander de ne pas signer.
Alors pour en avoir monté , je peux dire que c’est tout sauf facile. Et que la partie administrative est tout sauf un détail.
Fred
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C’est pour cette raison que la création de parcours NK est moins « rentable » que la modification de la réglementation sur les quotas.
La seule inconnue c’est l’appréciation de nos sociétaires sur ces nouveaux quotas ??? .
Je vous ai solliciter pour tenter d’avoir vos avis , mais je comprend qu’il y a très peu d’exemple actuellement donc pas d’avis.
Nous verrons au bout d’un ans si la fédé et les aappma de le Loire ont scié la branche sur laquelle nous étions assis
Comme le dit Fred, inutile de présenter une demande de création de parcours NK a votre FD, si votre APPMA n’est pas propriétaire des beaux de pèche.
Ce travail peut être est long est très fastidieux pour certaine APPMA d’avoir les beaux de toutes les parcelles. Pour te donner une idée de la galère et les journées que cela peut représenter.
Sur mon APPMA on gère:
3 Lac de seconde catégorie
12 km sur la Neste et 50% voire plus des rivières issu du canal de la Neste sur leur parcours du 65.
Cela doit correspondre à + de 500 propriétaires (et encore parce que la Neste et du domaine public).
Pour le domaine public, les beaux sont mis en appel d’offre par l’état tous les 5 ans. L’appel d’offre aura lieux en 2022.
Daniel
Bonjour,
Dans une autre région, sur une belle rivière telle que le Dessoubre, j’ai vu une interview d’un membre d’une AAPPMA locale dire que pour les baux de pêche, il était question de 1 Euro / an / mètre linéaire de rivière…
C’est le même ordre de grandeur sur vos jolies rivières du Sud-ouest ?
Salut,
Pour les quelques dizaines de mètres bordant la Grande Beune chez moi, il n’a jamais été question de prix. Et ça ne me viendrait même pas à l’esprit.
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Pour les baux de pêche, il existe encore des agents ( service public) dans les Directions départementales des Territoires ( DDT) qui peuvent vous aider pour obtenir a minima les adresses des proprios riveraines du cours d’eau en question. Après il faut que les proprio sachent qu’ils sont aussi tenue d’entretenir les berges du cours d’eau sur lequel ils sont riverains ( la aussi c’est la DDT qui pilote cela) de fait cela peut être un levier pour convaincre les proprio de céder leurs baux a l’APPMA si celle_ci s’engage a l’entretien du tronçon convoité pour faire du parcours sans tué.
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