Je connais des Suisses qui sont allés (à leur sens) jusqu’au bout de cette logique et qui ont inventé le « teasing », la pêche sans hameçon. Le but étant alors tout simplement de faire monter la truite.
On le voit dans cette très mauvaise vidéo :
TEASING, fishing without a hook
Mais franchement, pas pour moi : l’âme de la pêche reste tout de même de prendre du poisson, fût-ce pour ensuite le relâcher avec toute l’admiration et le respect qu’il mérite.
Bonjour,
C’est bien pour cela que, dans certains pays, l’épuisette est obligatoire sur les parcours noKill. Son non-port est sanctionné.
à +
merci du retour 
plus j’en appends plus je mesure l’étendue de mon ignorance
c’est formidable de decouvrir la pam sur le tard 
Bonjour,
En parlant d’épuisette, je cherche un modèle simple au tamis circulaire d’environ 50 à 60 cm de diamètre et avec un filet pas trop profond. Ceci pour “filocher” au premier passage sachant que je suis adepte des cannes longues (10 et 11, peut être plus un jour)
Merci d’avance
à +
On n’est pas si loin de la Suisse mais ce sont les gens qui gardent le poisson qui se font désormais basher chez nous au point que la presse en parle.
Est Républicain: Voujeaucourt. Ce poisson mort qui fait polémique dans le pays de Montbéliard.
Petit à petit, à bas bruit, l’idée de la remise à l’eau des prises fait son petit bonhomme de chemin.
Fred
Pas tant que ça… malheureusement 
… par exemple : le premier commentaire en réponse à l’article que tu cites :
« 19.12.2021 | 10h58
Moi, c’est plutôt la pratique du no-kill (parlons français, on dit graciation !!) que je trouve insupportable, c’est un concept complètement idiot et venu d’ailleurs, comme trop souvent.
La pêche est un acte multimillénaire et naturel de prédation et le poisson est une nourriture, pas un jouet avec lequel les bobos font mumuse ! »
… Pas encore gagné, le no-kill 
Il n’y a pas si longtemps que ça, il n’y aurait eu que l’article relatant les exploits de ce valeureux pêcheur avec son brochet pendu après son crochet de boucher.
Le fait que cet article sur la polémique qu’à engendré la photo paraisse est à mes yeux un immense progrès même si les conservateurs vont monter sur leurs grands chevaux.
Fred
Tu as sans doute raison, car, spontanément, cette photo m’a fait pensé aux vieilles couvertures des journaux de pêche… heureusement, ça a quand même bien changé de ce côté là 
Les Suisses sont trés en avances sur la notion de bien être animal…Et pas que pour la pêche…
Bonjour
Je voudrai bien avoir votre avis.
Notre aappma à profondément modifié la réglementation sur les quota pour 2022 .
quotas truite 3 au lieu de 6
quotas ombre commun zéro
fenêtre de capture 25 mini 30 maxi
et création d’un deuxième parcours NK.
Sur notre Facebook les commentaires sont excellents à 95% mais ils ne reflètent pas la réalité car les anciens ne consultent pas facebook ou gobages .
Après tous ces changements allons nous perdre des sociétaires ou en gagner ?
Bonsoir,
Si cette question était posée dans le département où j’habite, la réponse serait très certainement liée à l’âge moyen des adhérents à l’AAPPMA en question : plus il est faible, moins il y a de risque d’en perdre avec ce genre de mesures favorisant le no-kil…
Je ne sais pas si ça peut être généralisé, mais ce sont les derniers chiffres pour la Loire-Atlantique (eau douce) :
Le rapport complet est là :
je n’ai pas lu l’étude mais j’imagine que la proportion de killeurs, outre l’âge des pratiquants dépend aussi des espèces pêchées.
J’habite un département de montagne ou plus de 95% du linéaire des cours d’eau est en première catégorie. A coup sûr, le kill dépasse très très allégrement les 10% , toutes techniques de pêche et classes d’âge confondues. Je ne pense pas me tromper en avançant 30% minimum de kill.
Sur les lacs de montagne et moyenne montagne, les salmo et les carnassiers prennent cher aussi.
En lacs et étangs de plaine, les carnassiers ramassent toujours… Seules la carpes repartent quasi systématiquement . Bref, les carpistes sont les plus respectueux du release, loin devant les leurristes, les moucheurs, .
Bravo pour les modifications de ton Appma
La notion de prélèvement ne peut être gérée uniquement par un système de marquage des poissons.
Car peu importe le nombre, je fais mon quota je dépose chez moi et je retourne à la pêche et ainsi de suite.
Selon moi il faudrait un prélèvement maximum autorisé annuel avec marquage mais national.
Si tu perds des mécontents généralement ça sera les principaux Killers donc tu t’y retrouveras en qualité de pêche.
Merci , vos réponse sont intéressantes je n’avais aucune idée de ces pourcentages .
Avec une réglementation plus stricte, les pecheurs qui ne reprennent pas leur carte sont tout simplement les viandards. Bon débarras!
Bien sur mais il n’empêche que les aappma « ringarde » on autant d’adhérents qu’une réformiste , ce que je veux dire c’est qu’il n’y a pas de prime à la modernité.
Personnellement je n’ai jamais pris ma carte au hasard , au contraire j’ai toujours favorisé les gestions dynamique et réformistes, mais il semblerai que les pêcheurs n’ai pas ce réflexe.
pourtant ça pourrait être une arme redoutable … gestion pourrie = je boycotte .
Tout à fait. Je pratique de la même manière. Pour autant, il faut reconnaître que les choses commencent enfin à bouger et qu’un changement de comité et de présidence au sein de l’aappma suffit parfois à faire bouger les lignes dans le bon sens. Viandards, vous avez mange votre pain blanc…
et deviennent des bracos ! 
Non, je pense qu’ils prélèvent surtout majoritairement quand c’est autorisé. De la à en faire des bracos, il y a un pas que je ne franchirai pas. C’est à nous de faire en sorte que les règles deviennent plus strictes. Quant aux tricheurs, il y en aura toujours mais minoritairement.
un peu plus de contrôle avec des sanctions exemplaires pourrait aider a respecter les règles en place. Je ne crois pas en l’autogestion des pêcheurs, les milieux sont tellement fragile qu’il est très facile de tout bousiller rapidement pas besoin d’être très nombreux a dévier.
