J’utilise des sedges parachute qui marchent eux très bien.
La réponse avancée par Fred me semble logique, la présence de deux signaux contradictoires sur ce type de mouche entraine les refus.
En tout cas, je réserve donc les parachutes aux eaux rapides et choisis autre chose pour flotter bas sur les grands lisses.
david
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Non j’en mets le plus possible mais il faut que ce soit des signaux cohérents. Les insectes n’ont pas les pattes sur le dessus de la tête. Pourtant quand on leur met un parachute fait de hackle sur le dessus, c’est le signal qu’on envoie aux poissons.
Dans un courant où les poissons n’ont que peu de temps pour examiner la mouche et où l’eau brassée peut déchoucailler un insecte, ça le fait. Sur un lisse c’est mort.
Pourtant début novembre lorsque les gros pépères sortent à la tombée de la nuit dans rien d’eau et que tu galères à les intéresser, un parachute les déclenche à tous les coups. Mais je n’en ai jamais accroché un seul avec.
Mais avec une seule modif, c’est quine à tous les coups. Les pattes, faut les mettre au bon endroit. 
Fred
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Merci Fred pour ta réponse.
Merci pour vos réponses!
Ah bon les aspes ont aussi débarqué ? j’imagine en plus que le milieu leur convient avec ces courants.
`
Il n’y a plus qu’à espérer qu’un pêcheur pro mandaté par EpiDor tue le dernier silure qui aura mangé le dernier aspe qui lui même aura fini le stock de blageons et de gougeons d’Asie. 
Mais j’y crois pas trop.
Fred
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Sais tu si le blageon est un souci ou pas, il est concurrent de l’ablette ? Le goujon d’Asie par contre oui.
Il ne manque plus que les 4 espèces de gobbies, y a bien un mec qui va en déverser un seau…
Pour les aspes tu supposes une introduction sauvage ?
Pour le blageon, il n’est présent que sur un affluent direct vers Argentat.
Pour l’Aspe, il évident qu’il n’est pas venu tout seul.
Pour le gougeon D’Asie, ça serait suite à un transfert de poissons via un pisciculteur sur le haut du bassin.
Fred
Bonjour,
Idem pour le moyen Orbieu : mélangé dans des déversements de poissons blancs …
(interêt de déverser du poisson blanc ? ? ?)
Je ne sais maintenant, mais il y a quelques années, du côté de Lagrasse il était facile d’en faire quelques dizaines.
Sinon sujet passionnant cette problématique de signaux !
à +
On n’est pas un tantinet hors sujet…
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Restera plus qu’à mandater un quelconque prédateur pour manger le pêcheur pro.
Le hackle d’un parachute peut être tourné sur peu de tours sur la face ventrale également, bon on peut toujours mettre un tout petit toupet ou aile de cdc dessus pour la visibilité tout de même. J’y ai songé, mais pas vraiment testé pour autant.
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Tout à fait d’accord avec toi, et cela peut faire des dégâts sur les autres poissons.
fin du hors sujet
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L’espèce introduite sur la Dordogne la plus invasive a été l’ombre quand-même 
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On l’oublie 
Sawyer s’en donnait d’ailleurs à coeur joie pour les éliminer 
Bonsoir, je ne parlais pas du poisson en lui même quand j’exprimais mon accord avec @Scot mais du parasite qu’il véhicule: Sphaerothecum destruens.
Lui est semble-t-il redoutable pour les poissons autochtones et il ne se pêche pas.
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Oui comme le sandre avec la bucéphalose larvaire…
" Most fly fishers think of the parachute fly as an adult dun imitation, but in reality it is an emerger. In stage 3 the nymphal or pupal body is just under the film and the legs are spread out on the surface to support the body. The body sticks almost straight up, with the wings plastered tightly along the top of the thorax as they continue pulling up and out of the wing pads."
Le problème avec les montages parachute n’est peut-être pas tant le positionnement de la collerette sur le dos que le fait qu’elle soit souvent montée beaucoup trop fournie et ne ressemble du coup plus vraiment à des pattes soutenant le corps lors de l’émergence. Si on ajoute un toupet lui aussi souvent beaucoup trop visible de dessous par le poisson et qui peut ressembler à des ailes complètement déployées (et anormalement épaisses) , les signaux ne sont en effet pas bons.
Peut-être qu’en employant des fibres de hackle plus longues que d’habitude mais montées beaucoup moins fournies on retrouverait le signal pattes sans trop compromettre la portance (et de toute façon les poissons chipoteurs sont sur les lisses) , et en s’assurant que le toupet n’est pas visible de dessous mais reste raisonnablement visible pour le pêcheur (choix couleur) on évite le signal contradictoire « ailes levées » .
Il serait intéressant de faire un essai comparatif en retaillant simplement sur certaines mouches le toupet au max sans trop compromettre la visibilité (un atout majeur du parachute, en tout cas pour moi!) et en eclaircissant considérablement la collerette tout en la conservant au dessus du corps. Bien sûr il faut avoir accès à des poissons chipotteurs sinon c’est sans intérêt.
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Les poissons chipoteurs ont les a et épurer le montage je l’ai tenté. Ça déclenche poisson à chaque fois quand ils sont effectivement sur des émergentes mais jamais je n’ai pris le moindre poisson.
Que des refus.
Je prends les mêmes ingrédients, épurés au maximum, de même qualité et surtout en quantité (même nombre de fibre de cdc du toupet, même nombre de fibre de coq) mais je les place différemment sur l’hameçon et c’est gamelle et but à chaque passage.
Je peux même inverser coq et cdc, même résultat ==> dégorgeoir.
Un hamecon, un bout de fil, une pincée de cdc et quelques fibres de coq. Le miracle opère mais faut les mettre au bon endroit.
Fred
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Et en plus la mouche est moche ! Mais c est vrai que ça marche !
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