Bonjour,
(toujours hors sujet) je suis assez d’accord et ne suis pas sûr (dans la plupart des cas) qu’il y ait n intérêt halieutique à faire des pêches de sauvegarde.
ps: peut être serait il judicieux de créer un nouveau topic sur le sujet?
Comment on peut se dire pêcheur no kill et laisser les poissons mourir en souffrance???
Même si les chances sont peut-être infimes de survie, on se doit pêcheur de participer aux pêches de sauvegardes et tout mettre en œuvre pour sauver ce que l’on peut.
On est bien content de s’amuser quand l’état des rivières le permettent alors quand c’est le contraire il faut être capable se retrousser les manches!!!
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je ne vois pas le rapport.
Les poissons tu les mets où?
dans un milieu qui est déjà en souffrance…
D’autre part je connais un exemple précis: la Jonte dont une partie est chaque année à sec avec des truites coincées dans des trous. La fédération ne fait pas de pêche de sauvegarde au titre que les poissons tu les mets où? (info que m’avait donnée un guide de pêche) sachant que les rivières environnantes sont dans un bon état.
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Sur les peche de sauvetage, le message de @richard est typique du cas de conscience : l’émotion prends le pas sur le rationnel. Il faut sauver les poissons coûte que coûte… Mais pour les mettre où ? Et avec quelle conséquence sur les poissons du milieu receveur ? Sans compter les risques sanitaires et écologiques.
Se sont les écosystèmes qu’il faut sauver…
A+
J
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100% d’accord avec toi John
Même si dans certain cas il peut y avoir un intérêt à écouter l’émotion des pêcheurs afin de garder des équipes motivées pour d’autres action plus utiles pour les milieux…
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Je comprends tes interrogations.
Tu les mets dans les rivières si l’état le permet ou les affluents se jettent.
Tu as les piscicultures de proximité.
Au moins tu tentes des choses pour essayer de sauver ce qu’il peut l’être.
Mieux vaut essayer que de rester les bras croisés et les regarder à l’agonie.
Laisser mourrir lentement des poissons sous mes yeux, désolé mais c’est incompréhensible pour moi.
Les rivières dont l’état le permet sont déjà quasi saturées en poissons, c’est ainsi que la nature fonctionne…
Les piscicultures de proximité, ça ne pas de sens, on parle ici de poissons sauvages.
Donc ça fait mal au cœur mais ça sert pas à grand-chose…
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Pire, c’est néfaste pour :
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le milieux d’origine qui est à l’agonie et tu viens y faire trépigner des gars et t’y balances de l’électricité sur les derniers insectes et autres invertébrés survivants. Bref tu rajoutes du stress au stress
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pour de milieu d’accueil qui lui aussi souffre. En mettant de nouveaux poissons dans ce milieu stressé, tu vas induire des luttes territoriales qui vont épuiser les poissons pour arriver au final à ne pas augmenter le nombre de poissons car lorsqu’il y a 10 postes tu peux rajouter autant de poissons que tu veux, au final il y aura 10 postes capables d’acceuillir 10 poissons.
Donc triple peine au final. T’as foutu le bordel dans les milieux aquatiques et le climat. Ça assèche des milieux et au final tu appliques un remède pire que le mal en dépensant de l’énergie pour fouttre le bordel dans un milieu fonctionnel stressé en y balançant des poissons que le milieu n’est pas en capacité d’accueillir.
Fred
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Donc si j’ai bien compris vos leçons on laisse agoniser et souffrir les poissons et éventuellement on va faire des processions pour faire recouler les sources!!!
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Ben oui hélas… sur le plan biologique c’est le plus sensé.
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Et surtout on fait des efforts pour que ça empire pas.
Parce que ce qui nous arrive, c’est tout sauf du hasard.
Mais personne ne veut rien changer donc faut pas pleurer. Il y a 800 km de bouchons sur les routes le samedi, c’est clim et piscines à fond, le mec qui la ramène on lui déchire sa race d’écolo et il y a toujours autant d’avion dans le ciel (parfois pour aller pêcher une semaine à l’autre bout du monde).
Jusqu’ici tout va bien…
Fred
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Pas tout a fait d’accord avec vous.
Le cas des petits tributaires avec des juvéniles qui entament leurs dévalaisons ou/et d’autres TF adultes qui se retrouvent coincé dans les trous.
Alors cela est possible de les remettre dans le cours principal, si celui-ci n’est pas en souffrance.
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Ben si je suis je peux critiquer car je suis bien placé pour savoir ce que c’est.
Cela fait 8 ans que je ne prends plus l’avion.
C’est comme si un jour tu arrêtais le chasse sur une prise de concience. Ça ne t’empêcherait en rien de critiquer la chasse. Au contraire, en tant que repenti, ta parole aurait plus de valeur.
Mais ne changeons rien, tampons sur les écolos et attendons la prochaine canicule dès la semaine qui vient. Et n’oublions pas de lâcher quelques arcs dans les nokill pour le fun.
Fred
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As tu déjà pris des arcs du côté de Beaulieu?
Car elle est présente et se reproduisait sur la Dordogne depuis plus de 70 ans.
Ils s’en prenaient sous les sorties des galeries de Mareges et plus bas lors des vidanges sur l’aigle, la rivière reprenait alors son cours d’eau historique.
J’en ai d’agréables souvenirs même si cela remonte à plus de 20 ans des poissons de toutes tailles et d’une puissance incroyable avec de véritables nageoires!!!
Des poissons à l’origine introduits accidentellement certainement ???
Et ces dernières années sur la haute Dordogne des juvéniles.
Assez étonnant 
Si on appelle notre activité la pêche de loisir c’est bien que c’est pour le fun ! Que l’on ai la chance de pouvoir chercher à accrocher de gros poissons sauvages ou que l’on taquine une arc dans un parcours accessible sans faire trop de km, ça reste pour faire plaisir à un petit coin de notre cerveaux 
Déplacer mécaniquement des poissons la ou ils pouvaient aller tout seul est-il une bonne idée ?
Certain juvéniles y sont déja dans la bras principal, veut-on accorder plus de chance de survie à des poissons qui tout les ans attendrons tranquillement dans les trous pour faire un ptit voiyage dans le camion de la fédé ?
Pourquoi un camion, pour faire 200, 500 m !!!
Les pêcheurs ne savent plus ce qu’est l’huile de coude ?
Tu as bien compris que mon propos ne parlais pas d’empreinte carbone mais d’empreinte tout court que l’on laisse inévitablement quand on veut faire le boulot a la place de la nature.
Par contre se poser la question de savoir ce que l’homme a bien pu transformer pour qu’un poisson ne puisse pas dévaler sur 200m pour se mettre à l’abri des assecs …
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La Terre a quel âge déjà 
un truc comme 4 milliards d années…
Croire qu on va la sauver ou qu on va se sauver en triant 3 bouteilles en plastique et rouler en vélo ça me paraît un peu utopique 
On sait que c est plié pour au moins 10 000 ans du coup c est bien d avoir des convictions et de les appliquer mais…ça nous ramènera pas Dalida.
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Bel exemple de « diversion » dans la classification de Cook (2020) qui recence les techniques des climato sceptiques pour embrouiller les gens.
Non tout n’est pas perdu. On en encore le choix de définir le futur climatique de la Terre. Mais faut s’y mettre très vite et très fort.
Fred
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