Le truc qui vous énerve le plus !

pour moi et cela m’arrive assez souvent, c’est après avoir minutieusement approché des gobages, et être dans l’eau jusqu’à la taille et a 25 mètres du bord…une furieuse envie de Pi…r m’attrape et je dois ressortir précipitamment …:rage::rage:

2 « J'aime »

Et le bon vieux lancé pourri qui fais plouf après 10 minutes d’attente d’un gobage ! Il vener pas celui-là! :angry:

1 « J'aime »

Quand la mouche s’accroche dans la branche derrière juste sur le dernier shoot

11 « J'aime »

Quand, au bout de deux ou trois poissons de suite, ratés au ferrage, je m’aperçois que depuis la belle truite qui s’est décrochée tout à l’heure, je pêche avec un hameçon cassé à la courbure… :disappointed:
Vécu pas plus tard que le weekend dernier en réservoir… :grin:

5 « J'aime »

Moi, c’est faire le pas de trop et caler un poisson facile.

Fred

pour moi , c’est lorsque ma femme , prend plus de poissons que moi :wink:

Pareil que @Yannick en plus:

  • quand on pense que la mouche est pas trop “accrochée” mais en fait si, et il faut cassé (dilem: sauvé la mouche qui va bien ou sauvé le poste)

  • Un gros paquet de noeud qui flingue tout le BDL.

  • Quand l’hameçon ouvre mais que le BDL tiens bon (Ok ça arrive rarement)

1 « J'aime »

Le gars qui est en face de toi et qui veux te prouver qu’il est meilleur que toi.Vécu chaque année

1 « J'aime »

Quand je pêche l’eau sans gobage et que mon bas de ligne s’emmêle, le temps de le refaire, les truites se mettent à gober et dés que je suis de nouveau prêt, tout est redevenu calme, à croire qu’elles le font exprès ^^

les viandards !!!

1 « J'aime »

Récemment je me suis fâché avec un cygne mâle, taquin ou très con ( ou pervers, si ça existe chez les cygnes ?) qui s’est evertué pendant plus d’une heure à se placer à 3 mètres de moi, exactement entre moi et les rares gobages que j’observais à 7 ou 8 mètres. Je me déplaçais de 5 mètres en amont, ce goujat faisait de même, mine de rien .:dizzy_face:
Les cygnes sont des cons: les vieilles qui leur lancent du pain ne rentrent pas dans l’eau en waders une canne à la main, rayban et casquette kaki, c’est quand même pas difficile de faire la différence.
Les canards sont beaucoup plus intelligents, ils se barrent avant qu’on arrive .

1 « J'aime »

les gens qui ne s’imaginent pas qu’il nous gênent au bord de l’eau et surtout les viandards!

c’est lorsque a l’approche de ton coin ,ta un type qui déboule devant toi pour être le premier!!! grrrrrrrrrrrrrrr

Finalement vous passez votre temps à vous énerver
Restez zen :sunglasses: allez à la pêche Arf

4 « J'aime »

Si un jour vous voyez un type qui fait des grands gestes, comme emmailloté dans une soie au milieu de l’eau ne cherchez pas c’est moi… et ça m’énerve !!! :sweat_smile:

3 « J'aime »

Ne pas faire d’amalgame, car il est indéniable qu’il y avait tellement de poissons, il y a une cinquantaine d’années, qu’il était normal d’aller de temps en temps pêcher pour se faire une friture, ou une belle prise. Cela représentait UN repas, et c’était important dans le budget mensuel d’une famille. Les pêcheurs ne prenaient que ce qui était nécessaire. Inimaginable pour certains d’entre vous qui n’étaient pas nés d’imaginer le foisonnement de poissons. À certains endroits, on aurait dit un aquarium, et c’était NORMAL.
Il est sûr qu’il y avait quelques viendards, mais pas plus qu’aujourd’hui, je dirai plutôt moins. (L’absence de congélateurs y est peut-être pour quelques choses). Depuis ces années fastes, j’ai vu tout doucement les populations piscicoles diminuer. Je n’en attribue pas la cause au pêcheurs, car avant même que la notion de “no kill” n’existe, de très nombreux pêcheurs ne prenaient que le strict nécessaire, d’autres remettaient à l’eau si la friture était insuffisante, ou la taille minimum non atteinte, ou simplement par convictions, ils pêchaient aussi pour le plaisir, simplement. Hé oui ! ça existait déjà. J’en ai connu beaucoup, sur l’Adour, sur l’Armençon, la Seine, la Marne, le canal de Bourgogne, en passant par la Charente, et le Marais Poitevin, entre autres.
Tout doucement, j’ai pu constater la diminution des poissons, la disparition d’espèces (goujons),
la maladie d’autres (épinoches aux nageoires rongées par la pollution), la disparition complète de la population d’une rivière par assèchement suite aux arrosages agricoles intensifs (principalement maïs, tournesols). La pollution est sûrement la plus grosse responsable de cet appauvrissement dramatique, mais le peu qui restait s’est vu finalement dévoré par l’invasion plus ou moins irresponsable, des silures, et la prolifération des cormorans a fini par tout détruire. Finalement, quand je pêche actuellement, j’en arrive à souhaiter qu’aucun poisson ne morde, je suis triste de cet état de fait. Fi d’hypocrisie, l’homme est responsable de cette catastrophe, par sa bêtise, sa cupidité, son inconscience, son laxisme, et son aveuglement. Et même si il peut réparer un peu, il trouve toutes les excuses pour ne rien faire. Alors, pourquoi vais je encore à la pêche ? Pour être dans la nature, au bords ou dans l’eau, leurrer un des rescapés, et le remettre très vite à l’eau, pour me déculpabiliser… Et rêver à un temps passé depuis longtemps, mais cinquante ans, est-ce il y a longtemps dans l’histoire de l’humanité ?

10 « J'aime »

Bonjour,
Il y a une quarantaine d’années les truites que l’on prenaient avaient beaucoup plus de mucus et on avait du mal à les tenir ce n’est plus le cas aujourd’hui. Acidité de l’eau souche différentes ?

Salut, ce beau poisson qui gobe trop loin pour moi, et cette maudite micro boucle qui casse quand enfin j’en tiens un…

2 « J'aime »

tres juste,bien plus fréquents hélas que les petites discussions amiables ou meme qu’un simple bonjour

L’année derniere sur la Dordogne j’en ai vu 2 piquer un 100m!!véridique