Pêche des truites sauvages au streamer

J’ai passé quelques mois à pêcher récemment en Nouvelle Zélande.

J’ai pêche certaines rivières puissantes où les poissons sont très rarement visibles au streamer.
C’est une technique redoutable mais je n’effectuais que quelques dérives et c’est ce qui a été exprimé précédemment sur des endroits précis.
Pêcher l’intégralité du pool n’était pas nécessaire.
Les meilleurs postes étaient rarement vides s’ils associaient sécurité et vitalité.
Les grosses sont paresseuses et très exigeantes :grin:
Les arcs comme les farios peuvent prendre très souvent immédiatement sur leur tenue ou comme au saumon atlantique, quitter leurs tenues sur une dérive et cartoucher.

Les seules difficultés que je rencontrais :

Exigence de dérives précises et peu nombreuses car grosses truites sauvages…
Du bord, absolue discrétion et comme les eaux sont claires et que les galets sont sonores.

En dessous de 28/100, risques de casse.
En 28/100, une seule casse mais un certain nombre de décrochés en toute fin de combat.

Mon streamer est lourd et ma tête de soie plonge vite.

Ma dernière partie au streamer là bas ,

Une seule touche lorsque le streamer amorce la fuite.
Pour suivre le poisson qui épuise ma ligne de réserve, je décide de suivre en nageant dans ces eaux profondes, chaotiques et froides😁

Je réussis à garder ainsi le contact et à libérer la soie prise sous un rocher mais décroche mémorable.

Pêche très addictive avec quelques touches mais les cartouches et les rushes sont impressionnants.

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Salut, Te voilà rentré !!!
quelques mois ! t’as pratiquement fait le tour du calendrier !

Sinon , pour le streamer dans nos rivières du sud ouest, Je suis certain, que tout comme pour la noyée, si on pêche en pleine activité ça tape à coup sur. Seulement, quand on voit des poissons actifs qui gobent, pour la plupart des pêcheur on passe en sèche !
Bien souvent les essaies de pêche au streamer sont remisé aux périodes creuses d’activité.
Donc hormis les rares personnes qui mettent le streamer en priorité, je pense que pour nous autres, la plupart des essaie streamer ne sont pas concluant car dans des phases d’activité faible des poissons. C’est idem pour la noyée, quand ya de l’activité en mars entre 13 et 15 heures, ça tape à tout va . Si on se contente de pêcher en noyée entre 9heure et midi, on aura moins de tape !!!

Sinon, depuis peu j’essaie une nouvelle technique entre le stream et la noyée. En gros je monte deux mouche, un petit streamer en pointe, et une noyée en sauteuse. Pour le moment, de la réussite en montagne dans les lacs et arrivée d’eau de lac mais pas encore assez testé en grandes rivières.
a ++

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