Bonjour je voudrais me mettre a la nymphe a vue mais les débuts sonts difficiles🤪,auriez vous des astuces/conseil
Merci d’avance👍
Nymphe , désolée j’ai pas vu dans le titre
La base c’est d avoir des rivières qui s’y prêtent.
Pour que l’on puisse t’aider, il serait intéressant que tu expliques plus en détail ce qui, précisément, est difficile pour toi.
Merci pour vos réponses, ce qui est difficile pour moi c’est de savoir quand ferer souvent c’est trop tôt ou trop tard🤣
Salut,
C’est une pêche qui demande beaucoup de pratique pour arriver à ferrer au bon moment ! Mais aussi pour arriver à poser au bon endroit, faire la bonne dérive.
C’est la pratique et l’expérience qui est la clé de la réussite.
Il ne faut pas hésiter à pêcher à vu toute sorte de poisson pour s’entrainer. La pêche a lac permet aussi d’améliorer les ferrage.
Je m’y suis mis tardivement car chez moi les truites vues prenaient sans souci une sèche. C’est moins le cas maintenant. je commence à me sentir à l’aise depuis deux ans, après 10 ans de pratique en nav et 30 ans de pêche à la mouche.
A+
Merci pour toutes vos réponses c’est vrai que l’article de nicolas germain est super!!
quelqu’un aurait le lien vers l’article
j’ai pas réussi à le trouver sur le blog
Google est ton ami
merci bien
je vais lire ça
Tout ça est très bien, mais la théorie n’aide pas beaucoup pour ferrer au bon moment.
@Lemoucheur05 : As-tu pris le temps d’observer méticuleusement les poissons - sans les attaquer - et les différentes manières dont ils prennent des insectes sous l’eau ? Qu’est-ce qui, lorsque tu les observes, marque qu’ils se saisissent d’une proie ? Y a-t-il des moments où tu peux en être certain ? Pourquoi ? Y en a-t-il d’autres où tu n’en es pas sûr ? Pourquoi ? Dans ces cas, n’y a-t-il pas quelque chose qui t’a échappé ? Quelque chose de plus subtil, de moins immédiat ?
Il y a différents signes, et ça commence le plus souvent par un léger frétillement des nageoires, un mouvement de l’oeil, un infime mouvement de la nuque au moment où le poisson identifie une proie qui l’intéresse. Distinguer les signes annonciateurs est décisif, ça t’évitera d’être surpris et d’avoir un temps de retard - ou de ferrer précipitamment : un ferrage efficace commence par l’identification du moment exact où le poisson voit la nymphe.
Mais avant cela, il y a encore autre chose : être capable de savoir, dès l’impact de la nymphe, que celle-ci va passer juste et que le poisson va bouger. Si tu mets l’un après l’autre ces deux moments, tu n’as pas un, mais deux temps d’avance sur la truite
Ensuite, il y a évidemment ce que va faire le poisson : son déplacement (ou pas), l’arrêt net (ou pas). Mais la prise de la nymphe peut aussi être marquée uniquement par le mouvement des ouïes, le blanc de la gueule, voire le blocage des pectorales. Le plus simple évidemment (outre les cas où tu vois clairement la gueule s’ouvrir), c’est quand le poisson s’écarte en direction de ta nymphe avant de bloquer nettement sa course (arrêt, ou retour vers son poste) avec un léger mouvement de balancier : à l’arrêt, tu ferres instantanément.
Mais parfois, ça se joue dans une autre dimension, beaucoup plus aveugle et instinctive (et qui ne l’est pas tant que ça : c’est la force de l’expérience qui crée l’instinct sûr de lui-même). Le poisson peut se déplacer vers ta nymphe et disparaître dans une zone opaque : quand ferrer ? Dans ce cas, il faut savoir exactement où se trouve ta nymphe et sentir à quel moment elle sera interceptée. Mais il peut aussi ne faire aucun mouvement (à tes débuts, tu te désespéreras de ne comprendre qu’il avait pris qu’au moment où il recrachera la nymphe : tu ferres parce que tu as vu le blanc, mais c’était le mauvais blanc, ou plutôt : il n’y a pas « eu » le premier). Parfois, on ferre tout simplement parce qu’on sait que la mouche est dans la gueule du poisson au moment où on ferre, sans aucun signe qui l’indique.
« Pourquoi t’as ferré ?
-Parce que ».
La règle, évidemment, c’est qu’au moindre doute, on ferre (ce qui n’a rien à voir avec ferrer au hasard )
D’autres fois, ça tient à un imperceptible relèvement de la nuque (on est derrière, on ne voit pas la gueule, ni le nez, et le poisson n’a pas bougé d’un iota) : c’est les plus beaux ferrages à mes yeux. Parfois, tu es derrière et tu crois distinguer un léger mouvement vers l’avant (ni vers le haut, ni vers le côté : droit en avant, d’un centimètre peut-être) - mais rien ne te le prouves clairement : tu ferres, et le poisson se contorsionne au fond de l’eau.
Un jour, je suis tombé sur des truites qui se nourrissaient régulièrement sur une gravière : elles prenaient clairement, je ferrais, et à chaque fois elles n’étaient pas au bout. J’ai mis un moment pour comprendre que ces poissons très éduqués prenaient et recrachaient en même temps - avant de reprendre la nymphe, cette fois de façon décidée, quelques dixièmes de secondes après ! Il y avait deux prises : si tu ferrais à la première, ultra-rapide et du bout des lèvres, tu étais à chaque fois dans le vide. Il fallait retenir le ferrage - c’en était presque insoutenable - attendre une demi-seconde, puis ferrer au deuxième engamage. Une fois ce petit détail compris, la pêche a été fabuleuse. Mais ça n’est arrivé qu’une fois.
Tout ça pour dire qu’il n’y a pas vraiment de règles (quelle réponse banale). Parfois tu tomberas sur ces jours fabuleux où les poissons se déplacent clairement, prennent de manière agressive et nette, et où tout est facile et clair - tu n’as même pas besoin d’être très bon et tu pourrais même finir par penser que tu as enfin tout compris. Mais la plupart du temps - du moins sur les poissons un peu éduqués ou de taille plus conséquente - ça se joue dans la zone aveugle de l’instinct. Et dans ce cas, ce qui arrive le plus souvent, c’est qu’alors même que ton esprit en est encore à se demander si elle a pris, ton bras a déjà ferré.
Mais comme je l’ai dit plus haut : tout ça est très bien, mais la théorie n’aide pas beaucoup pour ferrer au bon moment.
Beaucoup de conseils déjà…my two cents comme disent les américains…si tu as une rivière avec des vandoises et des chevesnes commence par là.
Merci pour tes conseils, c’est vrai qu’il y a tellement de façons que la truite prenne que c’est difficile de le dire sur papier😅
Pour débuter la nymphe à vue, je te conseille de faire tes armes en réservoir, ou sur des poissons blancs avant d’attaquer direct sur des farios notamment si ces dernières sont ardues car pêchées
C’est tellement ça…
Cool, enfin un sujet qui parle de NAV. Je suis également débutant mais pour je ne sais quelles raisons et malgré les frustrations j ai envie de continuer car les quelques actions que j ai eux m ont donner des sentiments indescriptibles. Mais tout seul c est dur et découragent.
Pareil que toi, j ai des gros problèmes au ferrage ( souvent trop tôt ) mais j ai des problèmes également dans la recherche du poissons. Je pense vraiment que se faire la main sur des cheubs ou autre ça aide bien, ou des ombres si ont en a la possibilité.
Et niveau lunette, que choisir ???
Ont peut s échanger des messages en privé si tu veux pour parler de nos expérience de newbie
Je ne suis pas un expert même loin là et de bons conseils ont déjà étaient énumérés plus haut! D ailleurs chapeau bas l orpailleur pour cette description !
Pour ma part la gestion de l émotion grandissante de l approche, à l attaque et puis, une fois sur 10 à la prise du poisson, est peut être le plus dur à canaliser…et souvent c est cette émotion, cette excitation qui me fait faire souvent des loupés…
Je débute aussi dans cette pêche et c’est vrai que c’est hyper prenant !!!
Je vois que je ne suis pas le seul à me poser ces questions. Je pêche une rivière qui est très pêchée donc les poissons sont éduqués et j’avoue qu’il y a de quoi se décourager…par exemple ma dernière sortie j’ai dû attaquer 6 ou 7 poissons qui s’alimentaient bien. Et pourtant je n’ai réussi a piquer que le dernier que j’ai décroché d’ailleurs . J’ai commencé à 11h et j’ai touché le fameux poisson vers 19h donc dans la tête c’est pas toujours simple . Mais je n’ai qu’une envie c’est d’y retourner car on passe vraiment par toutes les émotions dans cette pêche et c’est vraiment top quand on arrive ne serait-ce qu’à piquer un poisson.
Bonjour Rom3187, ton message m’a interpellé, 6 ou 7 poissons dans la journée c’est exceptionnel et j’ai bien peur que ça ne se renouvelle pas tout de suite.
Pour prendre un poisson en nymphe a vue il faut passer en mode indien et lui offrir une nymphe qui nage, pas une enclume, donc du sur-mesure en quelque sorte, pour le reste je t’encourage a y retourner le plus souvent possible, bonne chance.
Bonjour en général j’attaque 3 a 4 poissons par sortie…donc oui c’était une bonne journée.
Bizarrement a chaque fois que je pique un poisson c’est sûr une nymphes plutôt lourde (pas une enclume non plus) pour les coup que je pêche. J’essaye toujours de passer d’abord des nymphes légère… pour l’instant sans résultat surement du a la présentation…