La crue dure on s’occupe
Là il y a un joli pavé !
Alain , montage ou c’est comme ça pour la quatrième , on dirait une orchidée qui pêche ?
J’avais pas fait attention que cette herbe pouvaient rappeler une canne à pêche
Aucun montage bien sur
Il y a cinq millions d’années des insectes ce sont fait piéger dans de l’ambre floral sur l’île de Madagascar .
Superbes photos encore. Pipit des arbres?
je pensais plutôt alouette mais j’ai pas chercher à vérifier…
Enfin de retour au bord de l’eau, après une abstinence qui m’aura semblé infinie.
La rivière a bien changé entre temps : les orties, les graminées et les carottes sauvages arrivent à l’épaule rendant les berges difficiles à approcher, les petites truites ont pris possession de la rivière et s’amusent dans les courants (on les laisse tranquilles mais on profite du spectacle), tandis que les plus beaux poissons - ceux qui nous appellent au bord de ces eaux vertes - sont devenus des fantômes insaisissables.
Les journées à un, deux, ou trois lancers maximum sont de retour. On entre dans les pêches d’été.
Je veux bien en faire des sorties qu a un seul lancé a ce compte là
LOL… faudrait être difficile, non ?.. « ou biennnnhh » comme dirait un helvète
Superbe coup de ligne et très belle photo, bravo @Orpailleur !
Moi, déjà que la plupart de mes lancers se terminent dans les herbes, je serais fort dépité si je n’avais droit qu’à deux ou trois…
Quoi que, j’ai connu des session à une seule touche ( il ne fallait pas la rater ) !
Bien cordialement,
A vrai dire, il y en a eu deux.
Le premier dans la matinée, sur cette beauté de l’ombre, extraordinairement farouche, que j’avais traquée en vain l’année dernière sans parvenir à trouver la brèche. Elle a failli m’avoir cette fois encore : m’ayant deviné, elle a disparu pendant deux heures. Mais patience est la mère des vertus. Elle a fini par ressortir discrètement sur l’un de ses postes contre la berge opposée, silhouette fantôme à l’ombre d’une branche de saule caressant l’eau claire. Le même poste compliqué qui m’avait donné du fil à retordre l’été passé face à ce poisson électrique, qui ne pardonne rien.
Je savais que je n’aurais pas le droit à la moindre erreur, ni le temps de tergiverser car elle ne reste jamais longtemps dehors. Heureusement, les étoiles étaient alignées pour ce retour au bord de l’eau.
Tu coûterais cher si on faisait un reportage vidéo sur toi @Orpailleur ! A filmer 3 heures de vidéo, on aurait 10mn de rendu
Magnifique poisson et superbe patience !