Il est décédé?
Et puis la vie personnelle d’ untel est privée et n’a rien à faire sur aucun sujet.
Salut Adrien et merci beaucoup !
Malheureusement tu vas te faire rouspéter car on y voit des poissons morts.
Ce sujet est donc difficile à maintenir…et j’ai d’ailleurs supprimer pas mal de mes messages pour éviter toute glissade!
J’ai téléchargé tes images je te remercie beaucoup pour ce cadeau que je vais tranquillement apprécier avec mon café !
Alex
Quelle est la définition de fin de vie ?
Elle peut être définie par les derniers instants d’une personne gravement malade, atteinte d’une maladie grave et incurable et dont le pronostic vital est engagé.
Une explication est nécessaire pour la phrase " concernait sa fin de vie"
Maladresse?
Tout doucement ce sujet glisse vers sa fin de vie 
Yves
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Quelle fin de vie?
Difficile à suivre les discussions quand il y a des messages qui sautent 
Je dégringole!!!
Moi qui était persuadé que tes rêves étaient embellis par ma silhouettes de rêve faisant virevolter une soie étincelante sur font de couché de soleil majestueux…
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Bj comme ça ? 
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Salut
On peut sans doute ajouter à la liste des Francs-comtois qui ont eu une influence sur la pratique de la mouche en France le nom de Jean Vaufrey.
C’etait un pecheur qui fréquentait assidument le Dessoubre et sans doute le Doubs vers Goumois
Il a écrit dans les années 70 , une longue série d’articles dans la Peche et les poissons, que je trouve encore aujourd’hui vraiment remarquables.
je ne l’ai pas connu mais pour l’avoir lu c’était à l’évidence quelqu’un qui avait passé beaucoup de temps dans l’eau, et qui en parlait remarquablement.
Ces articles avaient un coté sobre, simple , c’était a la fois clair et dense, toujours basé sur l’expérience et l’observation plutôt que sur de la théorie ou des préjugés.
A cette époque la litterature « mouche » etait encore un peu marquée par une vision issue des traditions anglaises, et parfois par un esprit un peu mondain, ou au moins par un traditionalisme un peu chic.
Lui parlait simplement et directement, c’était précis et enthousiaste a la fois mais pas survendu.
je ne pechais pas a la mouche à l’époque, mais chacun de ses articles rendaient les choses vivantes et donnait envie de plonger dans ce monde la.
Il a tres bien résumé dans ses articles l’évolution qui etait en cours sur les rivieres de l’Est ou on s’interessait plus aux montages d’ensembles des petites olives, aux posés courbes, a la maniere d’attaquer un courant, plutot qu’au nom exact de telle imitation.
au detour d’une phrase on devinait qu’Il etait trés cultivé pour autant.
encore aujourd’hui , je crois bien que ce fait partie de ce que j’ai lu de plus intelligent dans la façon de partager tout ce qu’il avait appris au bord de l’eau
ces articles avaient ete mis, avec l’autorisation de la revue, sur un site par un de ces lecteurs
je n’ai pas retrouvé le lien avant de poster ce message, mais peut etre quelqu’un par ici pourra donner cela
Voila, n’oubliez pas J vauffrey, sans doute un excellent pecheur mais a coup sur un auteur remarquable
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hello
le compilateur de ses articles s’appelait christophe kleinpeter
http://kleinpe.club.fr
je crains que ce site ne soit plus actif, il avait aussi compiler pas mal d’article de eric tolderer et de theodore preskaviec.
je relis avec bonheur par ces temps de confinememt 50 ans de presse halieutique que j’ai put conserver et y retrouve de vrai pépites donc la presse actuelle.ferait bien de …
mais c’est la un autre débat.
Dommage, le site n’est plus actif 
Et la marque Garbolino commercialisait une canne fibre grise à son nom: ma 1ère canne…c’était hier 
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On ne voit pas le temps passer 
Oh si, pendant le confinement…
Ben oui, je sais bien ,mais ca date pas d hier, et ce serai long a scanner.
Si ont prends la serie d articles de jean louis poirot, la musette a matthieu, les pieds dans l eau avec des illustrations specifiques, c est quand meme chouette,et les vieilles pubs, les portraits etc,etc.et puis peut etre en vieillissanr un peut de nostalgie d un monde ou tout etait moins sophistiqué,et moins business.
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Et à l’époque les articles étaient bien écrit. Par exemple Henri Limousin. Aujourd’hui dans une revue bien connue, les articles sont des publi-reportages. Exemple: article sur une rivière dont personne de la revue n’ai allé sur place!
Alors je n’achète plus de revue, surtout avec énormément de pages de pubs (toujours les mêmes puisque c’est eux qui financent) et des articles « bavardages » ou l’on apprend rien, bien moins que sur Gobages
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moi je continue, la revue la plus connue est parfois lue en 1/4 d’heure,c’est tous les ans la meme!!je trouve plus de lecture ici moi aussi.
il y a 40 ans en arrière,je descendais chez notre ami pierre Choulet a auberge du pont du pin.jai eu le plaisir de rencontrer beaucoup de figures de lepoque et cerise sur le gâteau le plaisir de discuter avec m. bourassin .des moments inoubliables tout ce monde est maintenant clairsemé pour ne point dire disparu.
nostalgie quand tu nous tiens.
Bonjour dourbieman,
une petite correction, ce n’était pas l’Auberge du Pont du Pin, mais du Moulin du Plain.
Je pense que nous sommes beaucoup à l’avoir fréquenté dans ces grandes années.
Heureux temps, cordialement.
Comme il est question de Pierre Choulet, ci-dessous un envoi de Léonce de Boisset sur un de ses livres offert à ce grand Monsieur :
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super…
quelques mots sur un bout de papier et un bout de l’histoire de ce qui nous anime qui revit!
en évoquant jean Vaufrey , plus haut, je ne voulais pas dire que tout ce qui a été ecrit depuis est un peu nul, mais juste que lui en parlait avec un ton juste , simple, utile et vivant.
l’experience en somme
en fait ca doit pas etre facile d’écrire des choses nouvelles et interessantes, il faut pas trop leur jeter la pierre a ceux qui écrivent aujourd’hui
je suis le premier a ouvrir des magazines d’aujourd’hui en esperant je ne sais quoi , une nouvelle approche, un endroit bien…
en fait c’est surement difficile d’etre assez experimenté pour savoir beaucoup de choses et en plus d’en parler vraiment bien .
les redac chefs des revues d’aujourd’hui ils se creusent sans doute la tete, mais le talent d’écrire couplé a l’éxperience, je me doute que ca ne courre pas les rues