C’est très caricatural fred… et pas mon propos. Je répondrai quand j aurai 5 mn.
C’est clair Greg c’est de la caricature, et surtout ils récapitulent toutes les erreurs de la pêche aux leurres en maximisant sans cesse la taille des leurres avec tout les problèmes associés au fait de devoir lancer et faire plonger ces streamers énormes.
Celà étant dit, sur la Dordogne, c’est tres difficile de faire autres choses que du power fishing sur 90% des spots, et ça c’est une contrainte forte qui limite le choix des stratégies…
A+
J
Caricatural ? 
Avec le livescope tu repères la moindre perchette entre 10 m de profondeur et la surface entre le bateau et 30 m de distance à quasiment 180 degrés en mettant la sonde sur le moteur électrique qui balaie en mettant le pied sur la pédale.
Tu vois le poisson bouger en temps réel et le leurre avancer en temps réel. Et tu viens me dire que ça complique la vie des pêcheurs. 
Vaut mieux entendre ça que d’être sourd mais tu ne vas pas m’arracher la moindre larme.
Une vidéo prise au hasard sur internet.
Nous c’est sans écran, sans moteur et sans ancre. Et on lance à 15 m la plupart du temps sur des postes où on a un lancer en passant.
C’est pas la game boy la pêche à la mouche dans ces conditions.
Fred
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Un hameçon avec la pointe au milieu de la mouche. Après tout dépend de tes shanks.
Fred
Ok merci Fred.
Je pensais à des Shanks entre 40 et 80mm.
40 devant, 80 à l’arrière.
A voir devant l’étau !
Alors justement sur certains plans d’eau c’est fini, les gars voient les poissons s’enfuir sur le live. Même avec un sondeur classique c’est mort, ils l’entendent aussi. Ça tombe bien, le mien était en panne, c’est peut-être pour cela que cela a marché la dernière fois
C’était couru d’avance. Une sonde, ça émet un sacré bruit dans l’eau. Donc rien d’étonnant. Et c’est peut être pas plus mal.
Comme les vibrations des hélices de moteurs électriques sur certain lac.
En FT ou canoë, la discrétion est assurée. Mais la rivière défile plus vite 
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Sur certains plans d’eau. Dans les lacs de barrages en Corrèze en ce moment, c’est du tir au pigeon sur les gros brochets en pélagique. Il faut voir comment il les purgent avec ce nouveau système.
Après passer ses journées dans la nature à regarder un écran, fallait oser, ils l’ont fait.
Fred
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Oui ben c’est pas mon propos, merci de me laisser répondre… purée ca devient compliqué de discuter avec toi !
Je réponds dès que j ai un moment, avec ma modeste expérience de pêcheur de broc aux leurred ET à la mouche, qui n’a jamais pêché au livescope, en lac ET en grande rivière.
Promis, je parle plus. J’espère que tu as bien compris que mon coup de gueule n’était pas dirigé contre toi mais contre la technologie et son utilisation.
Je vois à peu près ce que tu vas me dire et je suis par avance d’accord.
Fred
Donc comme certains l’ont dit le livescope c’est surtout pour les plans d’eau et le pelagique et surtout c’est récent, mon expérience est pas basée la dessus, le sondeur en lac alpin ca sert surtt à repérer les baies potentiellement actives car ce sont celles qui tiennent bcp de fourrage, nmais ensuite ca reste une pêche très extensive sur des kms où le sondeur sert peu. Et ça fait un paquet d’années que la pêche des brocs sur ces lacs existe, on a fait sans livescope. On l’a aussi fait un peu à la mouche avec les difficultés que ça comporte (profondeur, vitesse etc…).
En grande rivière (le Rhône pour moi), le sondeur ne sert à rien…
- sur le comportement du broc, je vais peut-être rien vous apprendre mais les brocs occupent souvent les mêmes bons postes, bien que ça varie qd même avec les conditions. Dans tous les cas une fois qu’on a cartographié ça c’est une base solide de pêche, encore plus pour les gros (même si ces postes à gros sont souvent plus compliqués à trouver, à moins que ce soit juste parce qu’ils sont plus rares).
Ensuite les brocs ont de vraies fenêtres d’activité c’est souvent du tout ou pas grand-chose, et si on cible les gros ça vaut le coup de passer plusieurs fois sur les zones chaudes, à défaut d’en faire le siège, car sur une journée ça peut changer du tout au tout.
Même si en rivière comme sur la dordogne sans moteur c’est pas évident mais c’est pkoi pas faire plusieurs descentes ? (Je sais c’est dur de pêcher les mêmes postes ds la même journée). - sur les mouches/leurres : à moins de viser les très très gros, le demi poulet me semble pas essentiel. Il faut des grosses bouchées on est d’accord mais pour autant si vous avez ‹ que › des métrés, un énorme stream est pas forcément essentiel. On fantasme souvent sur l’action spécifique ‹ flottante et lente › des.mouches, c’est vrai que c’est un avantage, mais pas si souvent hélas. Il est bien plus fréquent que le facteur déclenchant des réactions des brocs soit une vitesse de récupération très très élevée (dur à imaginer tant qu’on a pas expérimenté, ça fait des touches de malade) et les vibrations. La taille énorme, je pense qu’on peut se contenter d’un quart de poulet pour les gros brocs.
Pour les vibrations, pourquoi ne pas s’inspirer des moucheurs de silures qui ont rajouté des palettes en queue et/ou des palettes de chatterbait ? Là ça permet un vrai changement de vibration par rapport aux streams standards s’ils déclenchent pas (mais ça complique l’immersion).
Comme l’a dit john il y a déjà eu cette course à la taille chez les leurristes, depuis ça s’est calmé, c’est un facteur de succès mais certainement pas La solution. Vues les complications que ça engendre à la mouche, il y a peut-être d autres voies à explorer.
C’est juste un retour d’expérience, après si vs ça vous fait tripper de monter et de propulser des mouches énormes, chacun fait sa propre approche de la pêche, mais c’est pas forcément la voie ultime en terme de résultat.
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Merci @greg pour ton point de vue, que je partage.
Juste sur le Big baiting aux leurres, la tendance s’est calmée sur la quantité de pratiquants, mais je trouve que ceux qui continuent à pratiquer cette pêche Big bait, les leurres sont toujours plus gros et lourds, comme ces gros leurres souples de plus de 400gr…
Par contre, la taille, donc longueur, n’est pas forcément une fin en soit. Le profil du corps, massif, est souvent privilégié.
Pour les streamer, je reste majoritairement sur un quart de poulet, mais avec un volume une fois dans l’eau, assez conséquent.
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Bonjour Greg,
La taille des streamers permet juste d’éviter Les brochetons. Perso une taille entre 25 et 35 cm me semble le bon compromis attirance/facilité de lancer. Quand les brochets sont sur les petites proies bien-sur faut mettre petit. Pareil quand c’est dur j’aime essayer du petit. Concernant les palettes je les réserve aux eaux troubles. Les pêcheurs aux leurres en utilisent pas mal et les brocs s’habituent aussi. Je te rejoins aussi sur la vitesse de récupération par contre. La frontière entre les deux techniques se réduit et les leurristes envoient des streamers plombés et on mets des palettes ou des tails sur les stream. Ce qui est sûr c’est qu’ils pêchent beaucoup plus vite qu’à la mouche…
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A l’occasion essayez de ramener pleine balle, comme sur des pélagiques…
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Oui, vérifié plusieurs fois, notamment en réservoir.
A plus,
Patrick
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J’ai déjà pris des petites touches timides de bass qui jouaient avec ma mouche, même en surface. Lancer suivant, ramener en rolly-poly à fond, poisson pendu 
. Y’a pas de raison que ça ne fonctionne pas pour brochet.
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Ce que je veux dire c’est que c’est une vraie grosse option pour les déclencher, un vrai pattern… ne pas croire que l’action plutôt lente du stream en animation habituelle soit le vrai atout de cette pêche. Ça peut l’être mais c’est vraiment pas systématique… souvent on a tendance à le croire (que la lenteur fait la différence)
Oui oui, c’est un pattern. Le Power fishing à la mouche peut paraître contradictoire, mais c’est applicable sans soucis. Reste le facteur limitant de la vitesse de récupération : on a pas un ratio de 7
Tout à fait d’accord avec toi Yannick, je pense qu’un streamer entre 25 et 35cm peut décider n’importe quel brochet à mordre y compris les gros et ça reste raisonnable à lancer. Je ne suis pas sûr que ça soit très utile de pêcher avec des streamers plus gros, d’autant que ça implique d’avoir du matériel hyper spécifique avec lequel, on ne prendra pas forcément bp de plaisir sur un poisson de 70-80cm, ce qui est dommage.
Sans compter que l’on peut se retrouver à ne plus pouvoir pêcher du tout car cela peut engendrer des pathologies aux épaules ou autres.
Et puis, en utilisant des streamers, au dessus de 25cm, comme tu l’as précisé, on opère déjà à une bonne sélection sur les poissons recherchés.
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Lancer des demis poulets n’est pas un but en soi. C’est dans certains cas une nécessité pour coller au plus prêt au régime alimentaire des poissons ciblés et à un besoin particulier au bord de l’eau.
Un prédateur n’est actif qu’en de rares moments dans la journée. Il rentre alors en chasse et va chercher à se nourrir en tentant d’attraper ce qu’il a à proximité. C’est la situation la plus favorable. Mais 95 % du temps il ne va pas sauter sur ce qui lui passe devant le nez sans discernement.
Pour avoir une chance de l’intéresser quand il est inactif deux solutions comme évoqué précédemment:
- lui passer des petites mouches devant le nez jusqu’à ce qu’il craque
- lui passer une imitation de grosse proie alléchante dans sa zone de détection.
Mais pour moi, autant il va faire quelques mètres pour choper un poulet, autant une simple nuggets ne va même pas attirer son attention.
En augmentant la taille des leurres, on augmente la distance de déclenchement des gros poissons pas forcément actifs et on a moins besoin de leur mettre une petite mouche dans le bec. Et sur des poissons tanqués dans deux mètres d’eau avec du courant où on pêche en passant, c’est pas déconnant d’essayer.
C’est peut être une bêtise. Je verrai bien. Je me donne deux ans pour tester. Le moulinet est arrivé aujourd’hui, la canne arrive demain. Reste plus qu’à couper les poulets en deux.
Fred
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