Si tu avais des sources, car le seul danger que je connaisse est la pollution par rejet qui flotte à la surface. Mais ça vaut aussi pour l’huile d’olive et autres huiles alimentaires …
Le silicone est d’ailleurs aussi utilisé dans l’agro-alimentaire, en médecine, en chirurgie dentaire etc …
à +
"Une toxicité pour les organismes aquatiques et une perte de fertilité ont également été constatées pour ces substances " (Siloxane — Wikipédia)
« Aquel is a premium gel floatant that is long lasting, silicon based » : Aquel | Loon Outdoors
J’ai essayé de la graisse de canard, à imbiber les dites-mouches…
Vous savez, celle, la graisse qui résulte de la cuisson d’un magret par exemple;
çà se garde bien plusieurs années au frigo dans un petit récipient fermé, à passer doucement avec les doigts après le montage: 
… et peut être même que …niveau olfactif çà pourrait le faire LOL 
… c’était même encore visiblement d’actualité dans des post ;
Personnellement je ne traite pas, ni avant montage , ni en cours de montage.
Lorsque je pêche, je corrige la flottaison selon les circonstances. Je souhaite une flottaison plus haute, je mets de l’huile de cdc, et si je pense qu’une flottaison basse serait mieux, je salive la mouche; donc pas de traitement préalable.
J’en était resté au seule chaine de Si-O …
Merci donc !
à +
??? les plumes de cul de canard étant naturellement hydrophobes ( c’est là que le canard avec son bec récupère la graisse naturelle pour lisser ses plumes ) pourquoi aller mettre un hydrophobe sur du cdc ?
Faudrait un expert pour relativiser le danger par rapport à l’utilisation.
Beaucoup de shampoing ont du silicone et finissent dans les rivières, à l’échelle j’ai bien peur que ce soit bien plus grave que quelques fioles de Loon dispersés chaque année dans les rivières…
On est obligé de relativiser sinon on ne fait plus rien, le mercure que l’on peut avoir dans la bouche avec les amalgames représente 50% du volume totale de l’obturation ! Une fois emprisonné c’est relativement peu dangereux. Pour le siliconne en cuisine c’est pareil, tant qu’il est stable et qu’il ne relache pas ses molécules ça passe, pour le teflon ça semble aussi être le cas.
Par contre le fait d’en utiliser multiplie les sites de production et augmente la pollution…
Il y a un film à voir sur ce sujet : Dark waters (Dark Waters (film, 2019) — Wikipédia)
Et pour relativiser par rapport au Waders, chaque année 10 millions de skieurs dans les alpes dispersent pour bon nombre dans la neige le Teflon qu’ils ont sur leur veste. Avec la fonte et le ruissellement cela concentre la pollution dans les … ???
Cela dit, j’ai fait le choix de ne plus acheter de Waders respirant.
Perso, je n’ai toujours pas compris l’objectif de la manœuvre. Personne pour expliquer ?
Fred
Je pense que le but est d’augmenter le pouvoir hydrophobe des matériaux afin de disposer d’une mouche flottant plus longtemps je pense ou plus haut. Et ceci dès la sortie de l’étau ou presque.
J’avoue ne pas chercher ce type de pratique mais je peux comprendre l’intérêt que cela suscite.
peut être le traitement au cœur permet que l’efficacité dure dans le temps plutôt que de passer le produit superficiellement au bord de l’eau ???
j avoue ne pas me préoccuper de ça lors de mes montages 
Oui c’est sûr. Mais à la base, si on a des plumes de qualité, on n’a en théorie pas besoin de graisser ses mouches. Lorsqu’on pêche en vraie sèche, ce qui compte pour moi, ce n’est pas le corps, les ailes et le vitafloss pour mieux voir la mouche. Ça c’est pour se faire plaisir, c’est de la déco. Non en vrai seche, il y a 10 % des fibres au contact de l’eau, juste pour créer un impact sur la surface.
Dès qu’autre chose touche l’eau, le corps par exemple, on n’est plus en sèche vraie mais en émergente.
Et là, au contraire, il vaut mieux que ça prenne l’eau non ?
Je dis ça, je dis rien. 
Fred
Peut on dire « en fin d’émergence »?.. si l’on considère que l’émergence commence dès que la nymphe débute son ascension.
J’avais lu dans le livre Léon Janssen que seuls les Duns (Baetis) ne reposait que sur leurs 6 pattes, aucune autre partie ne touchant l’eau.
N’étant pas spécialiste, des précisions me conviendrait tout à fait 
merci
Ben regarde un sedge adulte, un pléco, un moustique, une araignée d’eau… Il n’y a que les pattes qui touchent.
Pour une raison très simple. Si une autre partie du corps touche et traverse la surface, cela va entraîner l’insecte sous l’eau et un insecte avec une aile noyée ou le cul dans l’eau ==> c’est game over.
Donc lorsque l’insecte est valide et qu’on cherche à l’imiter avec une vraie sèche, il n’y a que les pattes qui touchent et font juste un impact.
Fred
Ok pour la théorie des insectes 
Mais les cerques, le corps inférieur, la collerette inférieure touche inévitablement l’eau pour un exemple d’éphémère, d’ailleurs c’est bien en partie les cerques qui équilibrent la mouche 
Les quoi ? S’il y a bien un truc qui sert strictement à rien (voire qui est néfaste) dans une mouche, ce sont bien les cerques.
Fred
N’est ce pas ce qui a motivé le guide Thierry Millot pour réaliser sa " no body " ?
Trois tours de fil et une touffe de CDC, et c’est tout…
Ok pour celà.
Mais ma question portait uniquement sur les Baetidés et je voulais savoir si ce qu’écrit Janssen était totalement vrai, partiellement vrai ou faux. Merci
en tout cas mon sujet fait réagir!
dans la vidéo de Hans van kliken,
il évoque la graisse à traire parmi le matériel utilisé pour le montage de sa mouche mais plus rien en cours de montage…
peut être qq a vu la vidéo et a mieux compris.
Tu as bien raison JMV11, le jour du tournage de cette vidéo, j’était avec Thierry, c’était à l’occasion si je ne me trompe pas de La fête de la pêche à Argentat. un bon très souvenir !! 
Elle a pris du poissons l’après midi
La vidéo de la No body est là >>>>https://www.youtube.com/watch?v=-Ffg7D8TBDA