Tout comme le Canada (New Brunswick) en tout cas pour le saumon Atlantique. (confirmer plusieurs fois).
C’est un peu facile de dire que c’est open bar pour tout et n’importe quoi, sous prétexte que c’est l’Europe
Tout comme le Canada (New Brunswick) en tout cas pour le saumon Atlantique. (confirmer plusieurs fois).
C’est un peu facile de dire que c’est open bar pour tout et n’importe quoi, sous prétexte que c’est l’Europe
Mauvais exemple… On parle quasi uniquement de la Catalogne ou il est très facile de prendre sa carte de pêche et coto pour un non espagnol. C’est la seule province. Le reste des provinces, c’est quasi mission impossible si vous ne parlez pas espagnol ou carrément impossible si vous n’êtes pas espagnol ou résident en Espagne pour certaines provinces. (DNI espagnol oblige ou NIE)
J’ai mes sources ce ne sont pas du tout de la speculation concernant ces guides (Touss et Galli). Plusieurs témoignages de mes amis / connaissances en Espagne me disent la même chose… Pêche aux appâts vivants ds les NK, ou encore pêche au harponnage pour la photo… Oui vous ne rêvez pas…
Bonjour,
Je souhaite une précision 100 hispanophone ou 100 % espagnol avec son DNI como Dios manda? cela m’intéresse beaucoup pour la Galice et les Asturies. Merci!
C’est quand même bizarre de profiter abondamment de l’hospitalité de pays étrangers pour l’aller pêcher en Espagne où aux USA et appeler de ses vœux un protectionisme encore plus strict vis à vis des pêcheurs français guidés ou pas.
Il y a un truc que j’ai du mal à comprendre @Ben.
Fred
Je suis très loin de « profiter » comme tu le dit, je me suis construit aux fils des années, des relations. Choses qui malheureusement les guides actuels ont du mal à comprendre… Surtout des français en Espagne…
Mais je pourrais aussi parler des allemands venant à Mequinenza… C’est pas mal non plus.
Je suis très heureux de partager un moment avec un pêcheur correct, qu’il soit italien espagnol français ou autre…
J’espère que cela t’aura éclairer @fly.only
Asturie et Galice c’est pas des plus simples… Mais faisable.
Je l’ai déjà fait en 2012, mais ça été difficile même en parlant espagnol. Je crois que c’est pire aujourd’hui.
Bonjour,
je confirme pour la galice, j’ai galèré il y a un an
et pas réussi à réserver des cotos.
Bonjour,
Je crois que tu mets le doigt où ça pourrait faire mal : sous quels statuts ces guides travaillent ?
Pour ce qui est des « taxes », deux types :
cotisations sociales ; travaillant généralement moins de 183 jours cumulés par an (encore moins que les deux ans de la réglementation européenne), ils cotisent donc au système français ; bien sûr si leur entreprise est déclarée en France. Si encore elle est déclarée ……
Fiscalité : quels qu’en soient la durée et le montant, ils relèvent, pour les prestations effectuées en Espagne, de la fiscalité espagnole (taxation des revenus, TVA, etc.). Il leur appartient donc de se faire immatriculer et de déposer les déclarations fiscales nécessaires auprès des services fiscaux espagnols.
Pour communiquer avec les locaux, pêcheurs et autres, comme chez nous ils ne parlent jamais de groupe en guidage, mais bien de pêcheurs français un peu plus nombreux que d’habitude.
On comprend donc que, si une activité de prestation commerciale, artisanale, artistique, etc est facile à repérer et identifier, c’est moins évident de faire la différence entre quatre touristes pêchants ET un guide accompagné de trois clients.
Mais, miracles d’internet et des réseaux sociaux, rien de plus simple que d’identité les guides ayant des offres en Espagne. Après c’est juste de rapprocher avec les llicencies i permis et de contrôler, voire d’enquêter.
Comme chacun essaye de s’arranger un peu, dans la classique fuite en avant des activités peu profitables, il est probable que ni le fisc français, ni le fisc espagnol ne voient la couleur de la moindre déclaration.
Comme nôtre URSSAF des cotisations sociales engendrées par ces activités espagnoles (44% des bénéfices dégagés l’année précédente ou des 22,2% des prestations pour ceux A.E).
Plutôt que de tuer la relative poule aux œufs d’or du tourisme halieutique en excluant illégalement les pêcheurs européens comme le font certaines autonomies dont on sait les nostalgies politiques, l’Administration espagnole devrait faire le ménage en s’intéresser à la situation sociale et fiscale de ces guides étrangers de plus en plus nombreux à travailler sur les cours d’eau et lacs espagnols.
Cela d’autant que les cours d’eau espagnol étant public (droit de pêche inclus) les autonomies pratiquant la xénophobie halieutique (aussi celles bénéficiant le plus des aides européennes ….) ne peuvent se réfugier derrière la conclusion de contrat de droit privé.
à +
Ma déclaration est pour les entreprises travaillant en France.
Je sais pas ce qu’impose les autorités espagnoles.
Je ne met pas en doute la bonne foi de « certains » guides (et j’ai bien dit "certains), pour avoir parlé avec qques clients français , « certains » guides ne se font payer qu’en liquide… Avec tout ce qui va avec…
Un article ayant paru il y a 2 ans… à relire pour certains « Pro » ça leur fera pas de mal…
On attend toujours le retour de @EscapeFlyFishing
Vu la Directive européenne sur les travailleurs détachés, l’arrêt de la CEJ (les deux ans …), la Convention fiscale Franco-espagnole et la règle identique en France comme en Espagne des 183 jours annuels cumulés, forcément les seules différences seront au niveau des procédures administratives et fiscales.
Ainsi niveau procédure, par exemple en Espagne, le seul fait de posséder un bien immobilier implique une déclaration de revenus, même si ce bien n’est jamais loué. Ce qui n’est pas le cas chez nous ….
à +