De toute façon, entre agriculture intensive et eau, le choix est très très clair…
Fred
De toute façon, entre agriculture intensive et eau, le choix est très très clair…
Fred
Bon y a rien a faire on y arrivera pas…
oui ça c’est le bon coup de bambou de fin d’année, faut garder la foi dans les métiers de l’environnement
Il y avait déjà le coup du glypho , les cadeaux c’est toute l’année !
Exact, d’autant que le ministère en charge n’est plus celui de l’agriculture, mais celui de « l’agriculture et de la souveraineté alimentaire »… avec tout ce qui se passe dans le monde actuellement, c’est bien les trois derniers mots qui risquent d’avoir le dessus sur toute autre considération dorénavant
Allez, c’est Noël, la saison des cadeaux continue. Les syndicats proposent des textes et le ministre les fait passer. Simple comme bonjour.
Fred
On connait la méthode, la FNSEA a, à peut près, tous les droits…
Et quand ils n"ont pas le droit il se le prenne…
selon la presse, la mairie de Dijon va présenter la facture des dégradations (+ de 200000€ à l’Etat, c’est donc nous qui paierons!
Les paysans ont déjà des dérogations dans tous les domaines; fiscalité, exonération de taxes, code de la route et comme le dit le collègue, ils prennent le droit de toutes façon. Il y a 2 poids 2 mesures, si vous êtes victime d’une fermeture de boite et que vous manifestiez, c’est les CRS, à Dijon les cultivateurs ont été reçus sans délai par le Préfet!
S’il est très important de communiquer sur les nuisances que subit la Loue (en autres rivières franc-comtoises), il me semble qu’il ne faut pas tout voir noir non plus. Certains secteurs, même s’ils ne sont plus que l’ombre d’eux mêmes, s’en sortent mieux. En tous les cas, il y a de la vie ! Et tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir !
Nicolas
Bien sûr il y a encore de la vie. Mais la mort est la aussi. Dans chaque retourne on voit des cadavres en ce moment. Et cela ne va pas s’arrêter demain vu le nombre de poissons touchés par la sapro.
Et les pêches électriques autant que les ressentis sont implacables il y a chaque année moins de poissons. Comment avoir de l’espoir dans ces conditions ?
Le reportage est éffarant. Et la façon dont le probléme est nié par certains est consternant !!!
Restons les sentinelles de cette tragédie.
Il faut communiquer à tout va sur le comté, famille, proche, amis, collègues… les gens ne sont pas au courant.
Tes photos font du bien nicolas