Oui je fais à peu près pareil les rares fois ou je tente cette technique.
Dans la dérive, j’ai l’impression que le train de mouche passe tout à la même hauteur,
ce n’est peut-être qu’une impression, mais quand le courant est soutenu, la résistance que l’on oppose avec la canne et en tenant la soie, me fait cette impression.
La NAF m’a mal éduqué avec les nymphes dans différentes hauteur d’eau! 
Pour compléter les explications forts justes de Fly.Only et Pat, il faut vraiment penser que c’est le poisson qui monte saisir la mouche.
La sauteuse est dans la pellicule et la pointe quelques dizaines de cm plus profond.
En exagérant, en nymphe on pêche plutôt vertical, en noyée plutôt horizontal.
Sauf cas exceptionnels, je ne plombe pas mes mouches.
A plus
Merci Pat pour la fiche de montage 
Et les ailes d’ étourneau, servent au montage de la fameuse mouche d’Ornans. Voir
https://gobages.com/montage-mouche/video-montage-la-mouche-dornans/
Pendant qu’on est sur la position, la taille et la conception des noyées sur le train de mouches est ce qu’on pourrait parler des couleurs?
Est ce que vous pêchez avec un train de mouches plutôt uni ou est ce que vous alternez les couleurs?
Personnellement j’ai tendance à commencer avec des noyés de couleur unie, si ca fonctionne pas j’alterne avec des couleurs contrastées pour voir sur quelle couleur ça tape.
Alors perso, moi je mets du plus foncé en bas au plus clair en haut et moins fournie en bas et plus fournie en haut, pour moi c’est çà !!! 
Moi aussi, je mets du sombre et gros en bas, puis du plus petit et plus clair en remontant sur mon train.
Pour le bas de ligne je met du 20 centième car plus petit ça vrille et on passe plus de temps à le refaire qu’à pêcher et c’est pas gênant pour les touches.
Je comprends l’idée, mais je ne suis pas du tout d’accord avec le principe. On peut en noyée explorer plusieurs colonnes d’eau, et simultanément. Comme dit @fly.only tout se joue au posé et dans la conduite du train de mouches. Une des techniques les plus efficaces est d’ailleurs de faire couler ses mouches (non lestées) et de guider sa dérive pour que le courant les fasse remonter naturellement à l’approche du poste d’un poisson, pour simuler l’émergence.
C’est logique, la mouche de pointe simule une nymphe en transformation, ou une pupe de sedge, la ou les sauteuses imitent une mouche émergente.
Tout à fait d’accord. La verticalité concernaient les nymphes fortement plombées et conduites -en gros - sous la canne: celles qui font Plouf 
tout se joue au posé et dans la conduite du train de mouche : Oui, c’est essentiel; tout est dit dans cette phrase mais cela ne se maitrise pas du jour au lendemain
Pour les couleurs: en pointe Bibi ou Palaretta , Inter= noire, marron ,donc sombre et en Sauteuse= corps plutôt brillant.
je suis d’accord, j’aime bien cet équilibre là pour pêcher l’eau. 
Pour les spécialistes, si on est sur une éclosion de march brown, on reste sur cet ensemble général ou on adapte le train de mouches avec en tête une nymphe de MB, en inter une émergente de MB et en sauteuse un subimago?
Je mets en pointe une imitation spécifique de MB puis deux autres imitations différentes simulant deux autres insectes présents sur l’eau en mars.
Cela permet de ratisser plus large et de s’adapter aux goûts des poissons qui changent parfois au cours de l’éclosion.
Fred
J’ai créé le sujet en rapport avec les cannes pour ne pas mélanger avec la pêche en elle même.
Ici → Quelle canne pour la noyée? - #4 par mac01
Celle ci a donné un petit toc de rien du tout, deux fois. Au 3ème passage elle s’est prise toute seule, à l’extrême bord du bout des lèvres.
Même longueur de soie dehors, dérive plus ou moins inerte, noyée marron/cuivre/bécasse
Cela me rappelle tant de choses 
